Laurent Gamelon ne partira sans doute pas en vacances avec Victoria Abril. C'est du moins ce qu'ont pu comprendre hier les auditeurs des "Grosses Têtes" sur RTL dont Laurent Gamelon ("Rien à déclarer", "Le Placard", "Tais-toi") était l'invité. En fin d'émission, Laurent Ruquier est ainsi revenu sur les succès de la carrière de son invité. L'animateur a notamment évoqué "Clem", la série de TF1, dans laquelle Laurent Gamelon jouait jusqu'à récemment le rôle du mari de Victoria Abril.
Laurent Gamelon a commencé par préciser à Laurent Ruquier qu'il ne jouait plus dans la série. "On m'a fait divorcer", a-t-il précisé, ajoutant qu'il avait eu "envie de passer à autre chose". Lorsque le nom de Victoria Abril a ensuite été évoqué, les chroniqueurs de RTL ont senti qu'ils avaient mis le doigt sur un sujet sensible. "Ouh, ça ne t'a pas laissé un bon souvenir", a commenté Laurent Baffie en voyant visiblement changer le visage de Laurent Gamelon à l'évocation du nom de sa partenaire.
"Et sinon vous, comment ça va ?"
"Sinon vous, ça va ? " a préféré lancer ce dernier pour tenter de changer de sujet. "Alors là, il se passe un truc ! Qu'est-ce qu'il s'est passé avec Victoria Abril ?", a demandé Laurent Ruquier en rigolant. "Vous ne croyez quand même pas que je vais vous répondre !", a rétorqué avec humour Laurent Gamelon. "Oh bah si ! Elle a l'air charmante en plus ! Elle est un peu fofolle peut-être. C'est ça le problème ?", a relancé l'animateur des "Grosses Têtes". "Et sinon vous, comment ça va ?", a de nouveau réagi l'acteur, faisant rire l'assistance. Voyant que son invité n'était visiblement pas disposé à en dire davantage sur ce sujet, Laurent Ruquier est finalement passé à autre chose. puremedias.com vous propose de réécouter cette séquence.
Avec 7,25 millions de fans (26,9% de PDA), "Clem" est l'une des séries les plus regardées de TF1. En 2015, elle a ainsi été la quatrième fiction la plus suivie derrière "Une chance de trop", "Mentalist" et "Profilage". "Clem" est particulièrement performante sur les ménagères de moins de cinquante ans avec une moyenne de 35,6% de part de marché sur cette cible stratégique.
