Il estime avoir été "manipulé" dans cette "télé-réalité de merde" ! Ambiance...
C'est devenu un rituel, une fois un programme de télé-réalité achevé, les candidats balancent. Et Qui veut épouser mon fils ? n'y échappe évidemment pas. Après les règlements de compte entre prétendantes, les candidats s'attaquent maintenant à la production. Alban, invité dans l'émission de Mikl sur Goom Radio n'y va pas avec le dos de la cuillère, dénonçant les « manipulations » de la production dans le montage de l'émission.
"Faut la chauffer un peu là"
« Pendant le jacuzzi, ils me font passer comme quelqu'un de chaud comme la braise, c'est faux, je ne voulais pas y aller ! Ce sont eux qui choisissent le programme du jour, faut le savoir ! On m'a dit "Alban, il se passe rien, faut la chauffer un peu", c'est ce que j'ai fait et voilà ! A la fin, ils gardent le truc où je me prends un râteau » s'énerve le candidat, souvent traité de goujat sur Internet après certaines de ses déclarations dans l'émission.
Quant au casting de ses prétendantes, il ne correspondait visiblement pas à la fiche de renseignements qu'il avait donnée à la production avant le début du tournage : « Les meufs, tu choisis pas, ils en mettent cinq ou six pour faire rire (...) Dès le début, moi j'ai dit que je ne voulais personne là-dedans. Ils m'ont demandé de faire quelques efforts ».
"Une télé-réalité de merde"
Selon Alban, la production « montait les meufs contre lui ». C'est quand il s'en est rendu compte qu'il s'est rebiffé « en traitant certaines filles de lampadaire ». Visiblement remonté, Alban considère qu'il est passé « pour le mec aigri qui n'arrive pas à se taper des meufs ». « Il fallait que j'emballe les meufs ou que je les jette, c'est ça que veulent les gens ! J'ai été gentleman pendant longtemps avant de m'énerver » explique-t-il.
« Je suis quelqu'un de différent de ce qu'on a pu voir ! On est tous des comédiens là-dedans. Faut l'assumer, c'est une télé-réalité de merde » conclut Alban. Benjamin à ses côtés dans le studio confirme le sentiment d'Alban, s'estimant lui aussi manipulé à certains moments pendant le programme.