Benjamin Castaldi (P2) : "'Secret Story' est scénarisé mais pas truqué !"

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Benjamin Castaldi (P2) : "'Secret Story' est scénarisé mais pas truqué !"
Benjamin Castaldi
Benjamin Castaldi © Philippe Leroux
Benjamin Castaldi revient dans cette deuxième partie sur le big bang "Loft Story" et ses huit années à la tête de "Secret Story".

A l'occasion de la sortie aujourd'hui de son autobiographie, "Pour l'instant, tout va bien", puremedias.com consacre une journée spéciale à Benjamin Castaldi. Dans cette deuxième partie de l'entretien, l'animateur évoque l'incroyable aventure "Loft Story" et revient sur ses huit années à la tête de "Secret Story" et livre plus globalement son analyse sur l'évolution de la télé-réalité.

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Propos recueillis par Charles Decant et Benjamin Meffre

"L'émission nous a totalement échappé"

Ca fait quoi de voir sa carrière exploser après une partie de jambes en l'air aquatique ?
J'espère que le passage de mon livre sur le "Loft" fera sourire les lecteurs. On m'avait vendu le "Loft" comme une émission sociétale, très sérieuse. On était censé à l'époque être à mi-chemin entre "Ca se discute" et "L'heure de vérité" ! (Rires) C'était très loin de ce qu'on était véritablement en train de faire. Même naïvement, je pense que M6 l'a cru. Pas très longtemps. Au bout de trois jours, ils ont compris que ça n'était plus possible. Moi aussi, je l'ai cru.

C'était peut-être juste un emballage de communication pour eux ?
Non. Connaissant bien cette chaîne et ses dirigeants, je pense qu'ils ont cru véritablement qu'ils allaient faire une émission sociétale. Ils l'ont cru trois jours, comme moi. Quand les deux candidats ont fait leurs ébats dans la piscine, ils ont compris qu'on n'était plus du tout dans le sociétal. L'émission nous a totalement échappé en fait.

La séquence Loana-Jean-Edouard n'est-elle pas la meilleure chose qui soit arrivée au programme en le ramenant à ce qu'il était vraiment : un programme de divertissement ?
Il n'y a que M6 et moi qui avons cru qu'on allait faire une émission sociétale. Endemol savait très bien en revanche ce qu'allait être l'émission. "Big Brother", à la base, c'était quand même des hommes bodybuildés et des femmes à gros nénés qui passaient leur temps à se passer de l'huile sur le dos.

"Le regard de ma famille sur le Loft ? Epouvantable !"

Avant de vous lancer dans l'aventure "Loft Story", vous n'aviez pas regardé à quoi ressemblait "Big Brother" justement ?
Aujourd'hui, on peut tout savoir. On est hypra-connecté. A l'époque, je savais vaguement qu'il y avait eu un truc appelé "Big Brother" mais pas vraiment plus.

Thomas Valentin (Le numéro 2 de M6, ndlr) a bien dû voir la version hollandaise et donc savoir à quoi ressemblait véritablement l'émission ?
Evidemment. Ils sont allés en Hollande et c'est certainement parce qu'ils ont vu ce qu'ils ont vu qu'ils se sont dit qu'ils ne pouvaient pas faire la même chose en France. D'où la mise au point d'une version plus "qualitative". C'est d'ailleurs pour ça à l'époque qu'ils avaient mis en place l'idée de l'élection d'un "couple idéal".

Quel regard portait votre famille, passionnée de culture, sur votre présentation de "Loft Story" ?
Epouvantable. Mon père était assez content pour moi. Ma mère ne s'est pas gênée pour dire dans la presse qu'elle trouvait ça au niveau zéro du rien. On ne peut pas reprocher aux gens de penser ça de l'émission.

Ils ne sont pas obligés de le dire dans la presse...
Vous savez dans la famille, on est obligé de parler ! (Rires) C'est un principe de base !

Quelle a été votre réaction à ce moment-là ?
Ca fait mal mais il faut faire avec. Ma mère m'a dit à l'époque qu'elle préférait m'entendre sur Europe 1 (où Benjamin Castaldi animait une émission quotidienne d'interviews, ndlr) que me voir sur M6. L'émission sur Europe 1 m'a sauvé d'ailleurs. C'est ce que j'explique dans le bouquin. C'est sûr que de pouvoir passer de Françoise Giroud à Loana, c'était le grand écart intellectuel mais en même temps, ça m'a quand même un peu épargné.

"Beaucoup de barrières ont été franchies"

Pourquoi justement avoir arrêté l'émission sur Europe 1 un an après la saison 2 de "Loft Story" ?
Cette émission était une manière de me protéger et j'aurais peut-être dû garder ça dans ma carrière... C'est peut-être une erreur. J'aurais dû me garder cette étiquette-là. Mais là, c'est mon côté poil dans la main. C'était beaucoup de boulot. Europe 1, c'était une interview par jour avec des intellectuels, des romanciers, des cinéastes... C'était quatre à cinq bouquins par semaine à lire, quatre à cinq heures de préparation tous les jours. Plus la télé.

"Après ça, rien ne sera plus comme avant" dites vous à propos du "Loft". En quoi cette émission a-t-elle changé la télé française ?
Ca tombe sous le sens.

Dans votre livre vous citez Michel Drucker qui recommande de ne poser à ses invités que des questions dont on connaît les réponses. On applique ce principe...
(Rires) Il y a eu un avant et un après. Toutes les barrières, ou du moins beaucoup, ont été franchies avec le "Loft". Et puis surtout, après le "Loft", on a été beaucoup moins libre qu'avant. C'est ce que je regrette. La télévision qu'on fait aujourd'hui est beaucoup plus puritaine qu'à l'époque où j'étais chroniqueur chez Michel Drucker (dans les années 1990, ndlr). C'est l'effet pervers de ça. Ils sont tous devenus paranos dans les directions de chaînes.

Il y a eu beaucoup plus de restrictions ?
Oui, beaucoup plus. Il n'y a qu'à voir les lois qui nous ont été imposées par la suite pour ce genre d'émissions et qui ont d'ailleurs fini par abîmer le programme. La salle CSA, les histoires de salariat, toutes ces réglementations, ce n'est pas bon pour le programme.

"Les gens aujourd'hui connaissent la télé aussi bien que vous et moi"

En quoi ça a eu un impact sur les programmes hors télé-réalité ?
Ils se sont fait peur parce que ça a pris de telles proportions... Les gens se sont dit qu'il y avait une frontière à ne pas dépasser. Je pense qu'on est beaucoup moins libre qu'avant.

Est-ce que ça n'est pas aussi Internet et l'ère du buzz qui ont contribué à ça ?
C'est vrai, il faut faire attention à tout aujourd'hui : les portables, les gens qui vous prennent en photo. C'est dramatique ! Ca me rend parano ! Il faut vraiment être extrêmement vigilant sur tout ce qu'on dit ou écrit sur vous. On tire une phrase et c'est un drame. Il faut tout contrôler et je pense que ça a nui à la télé.

Vous dites aussi à propos de "Loft Story" qu'aucune chaîne ne donnerait aujourd'hui sa chance à un animateur aussi peu expérimenté que vous à l'époque. Pourquoi ?
Jamais ! C'était une autre époque. Des grosses machines comme ça ne sont pas faciles à piloter. Il faut des gens qui ont un peu de métier, au risque de se noyer.

Mais est-ce qu'il n'y a pas aussi une société médiatique plus critique et plus court-termiste qu'avant, avec des audiences qui tombent dès le lendemain et auxquelles tout le monde a accès ?
Il y a un truc qu'il faut bien comprendre, c'est que les gens aujourd'hui connaissent la télévision aussi bien que vous et moi. On ne peut pas leur faire à l'envers. C'est aussi ça que j'essaye d'expliquer dans le livre à propos de "Secret Story" et Endemol lorsqu'il y a eu des accusations multiples de triche. Il y a eu une période où ils se sont un peu perdus selon moi parce qu'ils ont cru qu'ils allaient pouvoir raconter une autre histoire aux gens. J'étais en rupture avec eux là-dessus. Je leur ai dit : "Vous faites une erreur. Assumons ce qu'on fait. On fait une fiction qui est plus ou moins scénarisée". Mais à l'époque, il ne fallait pas dire "scénarisé". C'était tabou. Aujourd'hui, c'est tout l'inverse qu'ils font finalement. Donc j'avais raison.

C'est le côté scénarisé qui a sauvé "Secret Story" ?
Bien sûr ! Mais à une époque, on ne l'assumait pas. Ce n'est pas bien.

"Ce jour-là, je me suis dit : on a franchi une limite"

Vous parlez dans le livre d'une pilule abortive à propos de "Secret Story"... Pouvez-vous préciser ?
Je ne vous dirai pas qui, quoi, comment. Mais parfois, oui, il y a une période où on se perdait un peu. Il y a une saison où il y avait une candidate pressentie pour l'émission qui était enceinte. Et quelqu'un a dit : "C'est pas grave. Elle n'a qu'à prendre une RU 486 (une pilule abortive, ndlr). Il a quand même fallu expliquer à cette personne qu'il y avait un risque qu'elle perde son bébé dans la douche de "Secret". Ce jour-là, je me suis dit : on a franchi une limite. Je tiens à préciser que tout ce que je révèle sur "Secret" dans ce livre ne concerne absolument pas la direction actuelle d'Endemol. C'est très important de le dire ! Autre temps, autre époque. C'était l'époque où ils étaient parfois prêts à aller un peu trop loin selon moi.

Cette phrase sur la pilule a été prononcée de manière sérieuse ?
Je pense que ça a été sérieusement envisagé, oui. Moi, je me suis toujours un peu bastonné avec la prod. Ca, je ne l'avais pas accepté. Comme je n'ai pas accepté l'idée de faire un test de grossesse en direct. Je leur ai dit : "Si vous faites ça, je me casse !". Il y a des choses que je ne veux pas faire. J'ai toujours été comme ça. Sur le "Loft 1", ce n'est pas dans le bouquin mais ils avaient prévu de suivre Jean-Edouard pour l'enterrement de sa grand-mère et d'en faire un sujet. Je leur ai dit : "Si vous faites ça, je ne le présenterai pas !" Contrairement à ce que les gens pensent, j'ai des barrières et des principes, moi.

"C'est évident qu'Endemol a sabordé le Loft 2"

Endemol a-t-elle sabordé la saison 2 du "Loft" parce qu'elle venait de signer un partenariat privilégié avec TF1 ?
Evidemment ! C'est une évidence ! Quand vous signez pour 500 millions d'euros sur cinq ans avec une chaîne concurrente (TF1, ndlr), je pense qu'on a dû vous demander poliment d'éviter d'avoir un programme qui peut vous nuire en face. Ca tombe sous le sens ! La saison 2 n'était plus une priorité pour Endemol. Ca l'avait été pour la saison 1. C'était très malin d'ailleurs. Ils ont cassé le bras de TF1 grâce à cette émission. Je pense qu'il y a eu une mariée abandonnée : M6. Elle a pris tous les risques et quelque part, se l'est fait mettre à l'envers par Endemol. Evidemment.

La dernière saison de "Secret Story" est-elle meilleure ou moins bien que vos huit saisons ?
Elle n'est pas meilleure, elle n'est pas moins bien. Elle est dans la continuité. "Secret Story" marche très bien depuis quatre-cinq ans. Il n'y a pas de problème. C'est un programme que j'ai présenté et que j'adore. Je l'ai toujours défendu.

Vous avez regardé la dernière saison ?
Assez peu. J'ai regardé et tout va bien. L'émission est très, très correcte. Le casting est plutôt très bien. Mes propres enfants, ces salopards (Rires), me disent souvent : "C'est l'heure de 'Secret Story'". Ils sont passés à autre chose. C'est que tout va bien (Rires).

'"Secret Story' n'est pas truqué !"

Selon les saisons, il y a eu des directions différentes données au casting, des sens différents donnés à l'histoire. Que répondez-vous à ceux qui accusent l'émission d'être truquée ?
Attendez, autant faire une rectification tout de suite. Je ne dis jamais dans le bouquin que "Secret Story" est truqué. C'est une connerie ! J'ai expliqué que j'avais été en conflit avec la production ou TF1. Ils étaient dans une logique d'orientation des histoires. Pour moi, ce n'était pas grave, du moment qu'on l'assumait. A l'époque, ils ne voulaient pas qu'on disent que c'était scénarisé. Aujourd'hui, TF1 nous explique, à raison d'ailleurs, que c'est un soap. Mais il faut l'assumer ! On fait certes de la télé-réalité mais on a besoin de faire bouger en permanence les candidats sinon ils resteraient amorphes sur le canapé. Ce n'est pas grave, quoi ! Quant aux secrets, il n'y a pas de secrets arrangés. Il y a juste des candidats au secret fort. Le casting devait avoir un certain nombre de ces secrets forts. Il y avait des gens qui n'avaient pas envie de faire l'émission. On leur disait donc : "Soyez sympa. Faites-nous une semaine ou deux. On a votre secret et puis après vous pourrez sortir". Ce n'est pas grave en soi de le dire une nouvelle fois ! Ce n'est pas la mort du petit cheval !

Il faut être totalement transparent selon vous ?
Je pense que la transparence dans ces émissions paye. La preuve : quand Jerry Springer (un animateur américain, ndlr) aux Etats-Unis a été accusé de faire une émission truquée avec des comédiens, il l'a reconnu et son émission a marché encore plus fort qu'avant ! Ma théorie est qu'ils auraient dû assumer absolument tout ce qu'ils faisaient. Et parfois, ça n'a pas été le cas, bien qu'ils aient fini par le faire. Mais entre-temps, pendant deux-trois saisons, on a eu des papiers nous accusant de tricherie. On ne trichait pas ! On avait juste un ordre à suivre. Après, ça marche ou ça ne marche pas. En aucun cas il n'y a de scénario écrit à l'avance. En aucun cas, on ne dit à un candidat : "Tu vas dire ça". On essaye juste d'orienter, par la Voix notamment.

Vous regrettez que la télé-réalité ait perdu la fraîcheur de ses débuts. Est-ce qu'il y a moyen d'y remédier ou c'est définitivement perdu ?
Il y a un moyen d'y remédier. La seule chose qu'on n'a pas faite en France : c'est la version ultime de "Big Brother".

"C'est la vérité : on scénarise"

C'est-à-dire ?
Des gens enfermés qui ne font rien de la journée. Mais est-ce que ça n'est pas un peu trop tard ? Je ne sais pas. Le problème, c'est que les candidats connaissent tous les rouages. Je reviens à ma différence de vue avec Endemol sur le fait d'admettre la scénarisation. Les candidats, ils avaient très bien compris ce qu'il se passait et comment l'émission fonctionnait. Je continuerai à dire qu'on a fait une erreur. C'est d'ailleurs peut-être l'époque où ils ont voulu me virer pour mettre Valérie Damidot à ma place. Je leur disais : assumez pleinement ce que vous faites. C'est-à-dire une émission qui est un soap avec une histoire qu'on raconte. Et n'ayez pas honte de dire qu'on scénarise. Parce que c'est la vérité qu'on scénarise ! Les gens ne sont pas dupes en plus. Je ne fais que confirmer ce que les téléspectateurs pressentaient et m'écrivaient. Ils me disaient : "Vous prenez vraiment les gens pour des cons !" C'est dommage.

Vous comprenez du coup que certains téléspectateurs soient agacés par le favoritisme de certains candidats ?
Absolument. Mais c'est pour ça que ça marche ! C'est là où ça devient rigolo. En plus, c'est bien connu, à chaque fois qu'on s'est "acharné" sur quelqu'un, la victime a toujours été sauvée. Il y a aussi certains gagnants de "Secret Story" qu'on aurait préféré ne pas voir gagner. Ca montre les limites de la scénarisation.

Vous avez souvent créé un suspense autour de votre présence dans "Secret" pour les prochaines saisons alors que vous étiez au fond du trou, financièrement. Pourquoi ?
J'ai commencé à laisser planer le doute seulement entre la saison 7 et la saison 8.

Oui mais c'est là où vous étiez le plus mal financièrement. Pourquoi ne pas accepter les yeux fermés puisque vous aviez besoin de beaucoup d'argent à cette époque?
Comme je l'ai dit dans le bouquin, le fait de faire "Secret Story" ne change malheureusement rien à ma situation financière.

Ca éponge quand même certaines dettes ?
Oui mais c'est tellement abyssal... Quand je vous dis que ça ne servait à rien de ce point de vue-là, c'est que ça ne servait à rien.

"J'arrête de faire des choix financiers pour faire des choix de carrière"

C'est mieux que rien quand même...
Oui mais entre-temps, j'ai fait Gulli, j'ai fait d'autres choses. Ca m'a donné envie de continuer à faire autre chose. Et puis j'avais envie de tourner la page aussi. J'avais aussi envie que TF1 me donne autre chose à faire, ce qui n'est pas arrivé.

Vous partez sur D8 à ce moment-là, une chaîne de la TNT. Vous dites dans le livre qu'un animateur sur une chaîne de la TNT est trois fois moins bien payé que sur une chaîne historique. Une nouvelle fois, n'est-ce pas contradictoire avec votre situation financière difficile ?
Non. J'ai accepté une chose très importante. A cette époque, je me suis dit qu'étant dans la merde, il fallait que j'arrête de faire des choix financiers pour faire des choix de carrière. La question était : "Est-ce que j'essaye de continuer à construire ma carrière ou est-ce que je raisonne uniquement en termes d'argent ? Dans ce cas-là, j'aurais pu faire des supermarchés, des foires à la saucisse. Je ne l'ai jamais fait.

Vous écrivez qu'après "Loft Story", vous faisiez partie du Top 5 des animateurs. En faites–vous toujours partie ?
Je pense que oui. On verra après ce qui passe. Tout cela peut changer. On peut être dans le Top 5, dans le Top 10, dans le Top 20. Ce qu'il faut, c'est se maintenir dans le Top 10.

Qui est dans le Top 5 aujourd'hui selon vous ?
Il y a Nikos, Arthur, Dechavanne, Nagui.

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