Alors que TF1 est souvent accusée de connivence avec le pouvoir, Laurence Ferrari s'est expliquée ce matin sur NRJ. A quelques heures de son face-à-face avec Nicolas Sarkozy dans le journal de 20 Heures, la journaliste s'est dit « prête et concentrée ».
« Je ne me bride en rien pour les questions que je vais poser au président, je serai cash comme d’habitude mais je resterai institutionnelle » a-t-elle précisé. Laurence Ferrari avait agacé Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, quand elle l'avait remercié en le qualifiant de « candidat à la présidentielle ».
« Depuis que je suis au 20 Heures, c’est la première fois que j’ai le président en face-à-face, je le souhaitais vraiment car l’exercice assez classique de deux journalistes interviewant le président, ce n’est pas hyper moderne. Moi, je voulais une formule plus moderne, d’ailleurs il ne vient pas que dans le journal, il va ensuite répondre aux questions des français avec Jean-Pierre Pernaut. C’est donc une formule inédite et moderne. On va essayer cette formule à l’américaine et on verra si ça marche » a ajouté Laurence Ferrari, au sujet de la spéciale diffusée après le JT où le chef de l'Etat s'entretiendra avec des Français.
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