Ce soir, ils ne sont plus que 16 candidats en course au début de ce sixième épisode de Masterchef. Un dîner chez l'ambassadeur, une louchée de sauce bolognaise et des abats plus tard, ils ne sont plus que 14. Retrouvez le résumé de l'émission.
La semaine dernière, c'était la surprise dans Masterchef. Pas de sucré/salé, pas de critiques sur l'assaisonnement... Bon, les jurés ont failli vire tout le monde d'un coup, et Carole Rousseau vous a à nouveau beaucoup fait parler dans les commentaires, mais à cette exception près, on n'a pas eu beaucoup de raison de boire. Ce soir, les choses vont-elles changer ? La réponse ensemble sur Ozap !
« On n'est pas sado-maso ! »
20h52. La route est encore longue pour devenir le Masterchef, lance Carole Rousseau au début de cet épisode. Oui, merci de nous le rappeler ! La première épreuve est simple. Enfin, plus ou moins : avec tous les ingrédients de la blanquette de veau, les candidats vont devoir cuisiner tout, sauf de la blanquette de veau ! Du coup, Steve commence à... préparer la base d'une blanquette. Logique ! Corinne, elle, a tout compris et se lance dans des quenelles, mais elles seront loupées selon Yves Camdeborde, parce qu'elle ne seront pas assez hachées. Il omet de lui dire, évidemment.
20h59. Explication franche entre Sébastien Demorand et Romain, qui affirme qu'il prend enfin les choses au sérieux après les attaques de la semaine dernière (« vous n'êtes pas cuisinier », lui avait lancé Frédéric Anton). Romain en a marre de se prendre des coups : « on n'est pas sado-masochiste, hein » ! Surprise : l'épreuve est résumée en moins de dix minutes (un record, sûrement) et on passe déjà à la dégustation, que Romain entame. Avec un veau trop cuit et des oignons brûlés, ça commence mal. Marine inverse vite la tendance : « c'est génial, super bon et j'adore », lance Frédéric Anton.
« Libérez-moi ! Libérez-moi ! »
21h06. « C'est pas très joli, mais ça a du goût », se prend Philippe. Audrey, elle, fait éclater de rire le jury avec « son épaule de veau ligotée ». « Libérez-moi ! Libérez-moi ! », plaisante Sébastien Demorand. Evidemment, la Belge est vexée. Et les commentaires sur son plat n'arrangent rien. Les quenelles de Corinne séduisent finalement Yves Camdeborde, et Joel convainc le jury, même s'il tire une tête jusque par terre et se fait ramener à l'ordre par le jury : « On est pas là pour vous couper la tête ! ». Frédéric, alias Vamos, se plante au niveau de la cuisson, tandis que Cyril loupe son dressage avec son siphon. Une fois la dégustation terminée, le jury se retire et se fait évidemment applaudir.
21h15. Romain, Anne et Vamos sont les trois derniers. Il faut dire qu'Anne a osé le sucré/salé, alors forcément... Le principe du sucre avec le veau nous chiffonne, explique Sébastien Demorand. La pauvre Anne, qui nous est beaucoup plus sympathique que d'autres pleurnicheuses, est en larmes. Allez Anne, on se remet ! « Je vais tout faire pour défoncer à bloc et prouver que je ne suis pas un pingouin », explique de son côté Vamos. Corinne et Steve, eux, sont les deux meilleurs, et sont donc désignés comme les chefs d'équipes de l'épreuve suivante.
Les soirées de l'ambassadeur sont toujours un succès
21h22. Le lendemain, c'est à l'Ambassade des Etats-Unis que les deux équipes se retrouvent, et c'est pour l'ambassadeur et sa femme que les candidats vont cuisinier. En même temps, tout le monde connaît le secret pour les séduire : des Ferrero Rocher et paf, c'est toujours un succès ! Aux côtés de l'ambassadeur et de sa femme, Carole Rousseau
21h31. Chez les rouges, on cuisine du homard et donc, on passe par la case ébouillantage. Espérons qu'ils sont meilleurs que la pauvre Pilar, dont les écrevisses ont beaucoup, beaucoup souffert. La préparation avance, mais les deux équipes ont du mal, au point que Frédéric Anton et Yves Camdeborde doivent intervenir, expliquant que maintenant, c'est « Oui chef ! » et puis c'est tout. « Après, je suis pas magicien », prévient Fréd Anton. Ambiance !
« Ingrid Chauvin a trouvé un poil ! »
21h39. Très diplomate, l'ambassadeur annonce qu'il est pour lui très difficile de trancher. Bah tiens. Tout est bon, tout le monde est gentil. Mais en cuisine, la tension est à son comble. Joel est presque en pleurs après s'être pris une remarque par Fréd Anton, qui n'est effectivement pas particulièrement sympathique. Joel nous sort une petite histoire pour faire pleurer : « quand j'étais jeune, je me suis fait pas mal rabaisser... ».
21h51. SCANDALE ! L'équipe bleue n'a pas préchauffé ses assiettes, et le poisson est donc arrivé froid ! C'est presque la révolution à la table de l'ambassadeur où certains invités sont choqués, et pas du tout poussés par la prod ! Comment ça, je fais du mauvais esprit ? Les rouges ne font pas cette erreur, mais ils en commettent une encore PIRE ! « Quelque chose est arrivé qui n'est jamais arrivé à la résidence de l'ambassadeur : Ingrid Chauvin a trouvé un poil dans son assiette », lâche l'assistance de l'ambassadeur. C'est le poil qui n'est jamais arrivé ? Ou Ingrid Chauvin à la table de l'ambassadeur ?
« On a frôlé la catastrophe »
21h58. Carole Rousseau, qui n'était PAS invitée au dîner de l'ambassadeur, est là pour rappeler aux candidats à quel point ils ont été mauvais la veille. « On a frôlé la catastrophe », dit-elle. « Je vais vous dire quelque chose qui va vous refroidir : sur les 16 que vous êtes, y en aura 80% qui vont retourner à leur métier initial », lâche Frédéric Anton, dont le but avec cette annonce est assez mystérieux.
22h02. On en vient aux résultats : c'est 16 jetons pour les bleus en entrée, 2 seulement pour les rouges. Pour le plat, les bleus n'ont récolté que 6 jetons, contre 12 jetons pour les rouges. Et pour le dessert, c'est 7 jetons pour les bleus, et 11 pour les rouges. Ce sont donc les bleus qui s'imposent. Steve, qui a fait gagner son équipe, reconnaît assez astucieusement que... « ça s'est joué à un cheveu ». Un rouge va donc devoir être éliminé : Corinne se nomme d'office, et Thomas, en charge des entrées (qui ont peu séduit) aussi. C'est assez digne, contrairement à la semaine dernière.
22h07. Mais quand vient l'heure du vote, Corinne ne vote pas contre Thomas, mais contre Philippe, qui était aussi en charge des entrées ! Deuxième surprise : Cédric fait pareil ! Joel, lui, votre conte Anne pour son « manque de prise de risque » ! Puis, Thomas prend trois voix, Corinne une de Thomas, qui respecte en fait ce qu'avait demandé Corinne... Philippe aussi votre contre Corinne, mais il a mis un petit coeur sur son papier, alors tout va bien, non ? Euh non. Finalement, ce sont Thomas et Philippe qui sont nommés. Le jury, qui ne sait pas trop qui choisir, opte finalement pour sauver Philippe.
« Il n'y a pas autant d'ingrédients dans une bolognaise »
22h16. Et on repart pour un deuxième épisode. Et c'est avec une épreuve de goût qu'on commence : il faut reconnaître les 20 ingrédients de la sauce bolognaise d'Yves Camdeborde. C'est malin, maintenant j'ai faim ! Les candidats passent tour à tour, et Corinne s'arrête à 12 ingrédients. Quand Sébastien Demorand lui demande pourquoi, elle répond que normalement, « il n'y a pas autant d'ingrédients dans une bolognaise ». Bizarrement, c'est Sébastien Demorand qui est le plus piqué par sa remarque ! Yves Camdeborde, lui, sourit nerveusement. Mais c'est Philippe avec son nez bouché qui a le moins bien réussi. Il est automatiquement "qualifié" pour l'épreuve de rattrapage.
22h44. C'est Steve qui a le mieux réussi l'épreuve, et il a donc un avantage : connaître le contenu de la boîte mystère deux heures avant les autres ! Apparemment, le fait de confier à Joel la conception de la boîte mystère la semaine dernière a convaincu les jurés de ne pas refaire le même coup cette semaine. On se souvient tous des résultats. Philippe, lui, ne participe même pas à l'épreuve puisqu'il est déjà nommé.
« J'ai envie de dire merde à tout le monde »
22h49. Georgiana est très très forte : avec son poisson, elle arrive à faire... « une vraie boucherie » ! Il faut dire que le maquereau n'est pas facile à cuisiner, et les chefs ont inclus des ingrédients un peu piège (comme Jean-François) dans la boîte mystère, à l'image du chocolat, par exemple. Quand vient l'heure de la dégustation, c'est Steve qui ouvre le bal avec un plat que les jurés n'ont pas envie de manger rien qu'à la voir. Cyril, lui, se met à pleurer quand le jury laisse entendre que son plat est prétentieux !
23h15. Le jury se retire pour délibérer et - SURPRISE - il n'est même pas applaudi. Tout se perd ! A leur retour, Carole Rousseau appelle Anne, Virginie et Cyril : leurs plats sont les meilleurs. Du coup, Cyril repleure. Virginie aussi pleure : elle est tellement contente qu'elle a « envie de dire merde à tout le monde » ! Pourquoi pas, après tout ! Steeve et Romain, eux, sont les moins bons, alors que Steve avait l'avantage d'avoir vu la boîte mystère deux heures avant les autres. Ils vont tout deux affronter Philippe lors du « test sous pression ». Quel nom d'épreuve naze, d'ailleurs, si je peux me permettre.
23h25. Rendez-nous Top Chef. L'épreuve sous pression va placer les candidats face... aux abats. Mamma mia ! (Bon, d'accord, c'était facile). Au menu, des ris de veau. Miam ! Les trois candidats semblent tous contents de leur travail. « Vous avez fait de belles choses aujourd'hui », leur déclare Frédéric Anton. Steve est le premier sauvé par les jurés, puis c'est Romain qui est sauvé, pour sa marge de progression, surtout. Le pauvre Philippe, qui n'a fait qu'une boulette sur tout son parcours, est donc éliminé. Sébastien Demorand lui glisse qu'il n'oubliera jamais, jamais le plat de son casting.
A retenir de l'épisode
*On ne se lasse pas de dire que trois heures d'émission, c'est trop long !
*Romain est (très) vivement critiqué chaque semaine, et pourtant, le jury le sauve une nouvelle fois. Un drôle de comportement par rapport au discours des jurés, non ?
*On a vu beaucoup de pleurs cette semaine, avec une arrivée surprise au rang des pleureurs de Cyril, et un peu moins surprise de Virginie et Anne.
