"Moi ? Vous parler de Madrange ? Madrange, je l'aime". Cette publicité résonne encore dans de nombreuses têtes. Egérie des jambons de la marque, Véronique Genest est pour beaucoup indissociable de cette charcuterie. Mais celle qui a rendu en début d'année l'insigne de commissaire dans "Julie Lescaut" sur TF1 ne traîne pas cette publicité comme un fardeau, loin de là. Interrogée cette semaine dans les colonnes de Voici, Véronique Genest assure assumer totalement la publicité Madrange et serait même prête à retenter l'expérience.
"Moi j'ai fait des pubs pour le jambon Madrange et j'en suis très fière. Et si, aujourd'hui, on m'en propose pour les couches Confiance, je dis pourquoi pas !" affirme la comédienne en réponse au journaliste, après avoir évoqué les possibilités de changement dans le monde politique, selon elle. "Quand les hommes politiques vivront les mêmes problèmes que les citoyens et arrêteront de s'accrocher à leur job comme un morbac dans les poils, ça ira mieux !" juge Véronique Genest, avec son célèbre franc-parler.
"Yann Barthès a fait des amalgames à mon sujet mais je ne suis pas rancunière"
L'actrice revient également sur son rapport compliqué à la presse, qui ne la ménage jamais. Elle déclare ainsi avoir accordé un entretien à Voici "parce que je préfère donner les choses moi-même plutôt qu'attendre qu'on me les vole". "Je suis pour l'échange et, n'étant pas vraiment quelqu'un de mystérieux, j'ai assez peu de choses à cacher" affirme-t-elle. Enfin, Véronique Genest revient également une énième fois sur ses déclarations sur son "islamophobie" et les nombreuses réactions qui ont suivi.
"J'ai en effet senti que, si je continuais, tout ça allait m'échapper. Mais les gens vous mettent dans une situation d'accusation telle que vous culpabilisez et finissez par vous comporter en coupable... alors que je n'ai rien fait de répréhensible" continue Véronique Genest, prête désormais à faire la paix avec Yann Barthès, qui l'a souvent moquée suite à ces déclarations. "Oh, il faisait son job... Ce que je lui reprochais, c'est de confondre racisme et critique d'une idéologie. Il a fait des amalgames à mon sujet, mais je ne suis pas rancunière. Si Yann m'invite, je me rendrai sur son plateau avec plaisir" assure-t-elle. L'invitation est lancée.
