Paulette, Causette ou Grazia, les titres apparus ces dernières années dans le paysage de la presse féminine se démarquent du modèle des grands titres, par petites touches ou de façon radicale, tout en invitant les lectrices à participer à l'élaboration de leur magazine.
"La presse féminine est en ébullition. C'est inouï. Parmi toutes les familles de presse, c'est celle qui garde le plus d'avenir sur le papier", analyse Vincent Soulier, auteur de "Presse féminine la puissance frivole" (L'Archipel).
Dans un paysage déjà bien fourni entre Femme actuelle (895.846 exemplaires vendus en moyenne par numéro en 2010), Prima (460.578 ex.) ou la référence, Elle (382.875 ex.), Grazia a repris les recettes qui marchent (mode, look, beauté...), et a rajouté sa touche personnelle: un soupçon de people "sans tomber dans le gossip", selon sa rédactrice en chef, Yseult Williams.
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