L'envers du décor. A l'occasion de la promotion de son livre "Le présent est mon refuge", Véronique Jannot était l'invitée de l'émission radio "On refait la télé", samedi 21 octobre, sur RTL.
Durant l'interview, le journaliste Eric Dussart a demandé à l'actrice qui a joué le rôle d'Anne-Marie Lazzari dans "Demain nous appartient" : "On dit que vous pourriez faire votre retour dans la série quotidienne de TF1. Info ou intox ?".
A cette question, Véronique Jannot a répondu : "Bah c'est-à-dire que tant que je ne suis pas morte, je peux faire mon retour. J'ai fait trois arches, les trois arches j'étais dans le coma, mais je m'en suis sortie à chaque fois. Donc voilà je vais certainement revenir..."
"Il a découvert qu'il allait quitter la série en découvrant son texte"
Celui qui co-présente le programme aux côtés de Jade a rebondi : "C'est vous qui avez décidé de quitter la série ou vous l'avez découvert en lisant vos textes ?". L'interprète du tube "Désir désir" avec Laurent Voulzy a expliqué : "Ah non, moi je savais que c'était une arche. Il y en a qui ont découvert qu'ils mouraient à la fin de cette arche et que donc forcément ils quittaient la série... Une fois, j'ai vu un acteur qui était avec son agent. De toute évidence, il n'était pas de très très bonne humeur. Et j'ai compris que c'était ce qu'il s'était passé, qu'il a découvert qu'il allait quitter la série en découvrant son texte. C'est violent quand même, c'est violent !"
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— Eric Dussart (@E_Dussart) October 21, 2023
" Demain nous appartient " dans @OnRefaitLaTele sur @RTLFrance pic.twitter.com/YyQ5OQ94De
Au cours de l'entretien, Eric Dussart a cherché à savoir : "C'est l'expérience que vous avez fait de la télévision d'aujourd'hui par rapport à celle dans les années 80, elle est quand même plus violente ?".
Sans hésiter, Véronique Jannot a alors déclaré : "Ah ben oui elle est quand même beaucoup moins humaine, elle est beaucoup moins respectueuse. Tout est en accéléré ! On passe à côté des gens, on ne se pose pas la question qui ils sont, comment ils vont réagir, si on fait du mal... On avance, on y va parce qu'on est pressé. C'est une telle usine ! Mais c'est une belle usine, qui fonctionne".
