Régis contre-attaque. Il y a quelques jours, à l'instar d'Inès, le candidat de "Koh-Lanta" a révélé recevoir insultes et menaces après avoir voté contre Sam lors d'un conseil. Dans la foulée, Adventure Line Productions, la société de production du jeu d'aventure de TF1, avait annoncé saisir la justice en raison de "propos et menaces dont ont été victimes plusieurs concurrents de la dernière édition de 'Koh-Lanta'". "Il est intolérable que ses concurrents aient à faire face à un tel déferlement de haine. (...) ALP sera vigilant au respect de chacun et engagera des actions judiciaires à chaque fois que cela sera nécessaire", précisait la production.
"Je reçois des menaces incitant à égorger et violer mes enfants"
Ce jeudi, lors d'une interview accordée à nos confrères de "Télé Loisirs", Régis annonce à son tour saisir la justice. "Ce qui se passe est d'une violence inouïe", dénonce celui qui, avant l'élimination de Sam, était plutôt amusé par "des messages moqueurs sans grande importance". Mais aujourd'hui, ceux-ci sont devenus "très violents". "On peut me dire que je suis un traître, ça ne me pose aucun problème et cela fait partie du jeu, dans deux semaines les gens seront passés à autre chose. En revanche, je reçois des menaces incitant à égorger et violer mes enfants, des appels à passage à tabac de mon fils de 12 ans en précisant le lieu de son collège, je ne l'accepterai jamais", déplore le candidat.
Face à ces attaques "intolérables", Régis a donc décidé de porter plainte. "Pour vous donner un exemple, mon nom de famille a été divulgué sur internet donc des internautes ont été insulter mes frères et ma femme. J'ai même vu que mon adresse avait été publiée. On marche sur la tête et je ne vais pas me laisser faire", détaille celui qui révèle que sa femme "vit très, très mal" ces attaques. Le candidat toujours en lice affirme même avoir demandé à ses enfants de quitter les réseaux sociaux... et à son plus grand, âgé de 12 ans, de changer de nom sur Facebook afin de ne pas subir d'insultes. "Heureusement que nous vivons une phase de confinement car je ne sais pas comment ça se serait passé au collège. J'espère vraiment qu'à la rentrée de septembre tout cela sera arrangé et que tout le monde sera passé à autre chose", conclut-il.
