La semaine dernière, on a rencontré Frédérique, sans doute la candidate la plus exaspérante de l'histoire de Koh-Lanta. Dans ce deuxième épisode, des candidats vont peut-être être échangés, et Ozap vous propose de commenter tout ça en direct !
La semaine dernière, on a rencontré Frédérique, sans doute la candidate la plus exaspérante de l'histoire de Koh-Lanta. Mais malgré son départ, les jaunes ne sont pas au bout de leurs peines. Lla nuit a été tout simplement horrible, entre les moustiques et les puces ! Et ce n'est donc qu'au quatrième jour que les femmes et Boris décident de construire une cabane, qui pourrait un peu les protéger peut-être. Boris prend la direction des opérations et suggère un endroit chargé de lianes... pleines d'épines. Et Boris a une autre très bonne idée : creuser un mètre dans le sable pour protéger le feu. Hum hum. « Il faudra peut-être qu'on s'impose », suggère Wafa. Ce serait pas mal, oui !
« Je suis pas très ménage »
Pendant ce temps-là, chez les hommes, ça bosse dur sur une cabane qui ressemble à quelque chose, et une protection pour le feu. Tout le monde s'active, sauf Vivien, qui avoue ne pas être « très ménage ». Quelle surprise ! Finalement, les filles décident de donner leur avis et de s'écouter les unes les autres. Elles construisent donc une autre cabane sous les arbres, moins exposée aux épines. « J'ai beaucoup d'idées, mais il faut qu'elles soient simples et efficaces », explique Boris, vexé. Simple, c'est sûr. Efficace... Il continue donc à construire son bunker pour protéger leurs affaires en cas de pluie. C'est vrai que ça peut servir, deux cabanes. Non ? Non.
Les travaux sont interrompus par la convocation à l'épreuve de confort. Et il s'agit d'une épreuve inédite : les candidats doivent mettre en place des obstacles pour l'équipe adverse, et chacune devra ensuite franchir ces obstacles. Si les femmes n'ont pas à rougir, ce sont les hommes qui s'imposent. Trois d'entre eux vont donc aller chercher des fruits au marché en guise de récompense. De retour sur leur camp, les femmes, elles, demandent à Boris (qui a sorti le boxer blanc à la Taig Khris, soit dit en passant) s'il viendra dans leur cabane en cas de pluie. Pas question, selui lui, il n'en a pas besoin. La soirée tombe, et on aurait presque envie de la passer avec les garçons. Non pas pour les quelques légumes et fruits ramenés du marché, mais pour la séance de massage signée Kulé.
« Putain mais j'suis nul »
Filles 1 - 0 Boris. Le lendemain matin, les filles ont mieux dormi et ont moins été piquées. C'est un peu le contraire pour Boris, encore une fois criblé de piqûres. Pas très sexy tout ça ! Mais Boris est sympa : il part à la pêche pour ses acolytes, et... IL LANCE SA CANNE A PECHE ET ATTEND QUE CA MORDE. Oui, je me devais de mettre ça en majuscule tellement c'est énorme. Filles 2 - 0 Boris. Chez les hommes, on passe à table. « Ca m'a requinqué, le riz », lâche Vivien... qui parle pourtant toujours comme s'il avait 2 de tension. Si ça, c'est du Vivien requinqué, ça fait peur. Il va en tout cas pouvoir montrer à quel point il est requinqué, puisque l'heure de l'épreuve d'immunité a sonné.
« Putain mais j'suis nul », lâche Boris au cours de l'épreuve, pendant laquelle les équipes doivent avancer sur une poutre. Et Boris n'a jamais dit quoi que ce soit d'aussi intelligent depuis deux épisodes ! Mais malgré ce poids, ce sont bel et bien les femmes, peut-être avantagées légèrement par ce type d'épreuves, qui l'emportent. Et outre le totem, les filles se voient offrir un marché par Denis Brogniart : veulent-elles récupérer Véronique et se débarrasser de Boris ? Mais il ne leur faut que quelques secondes pour décider de le garder. « On est une vraie équipe », lâche Boris, qui ne veut pourtant pas dormir dans leur cabane. Hum.
« Je suis un peu fatigué, j'arrête pas de vomir »
De retour sur le camp des rouges, Vivien est à plat. « Je suis un peu fatigué, j'arrête pas de vomir », explique le jeune homme. Le riz n'aura pas suffi ! Pendant ce temps, Philippe, lui, cite les deux aventuriers préférés des fans de Koh-Lanta comme inspiration : Freddy et Grégoire. « Vous me donnez Freddy, lui et moi on vous fait une centrale nucléaire sur l'île », plaisante-t-il. La nuit tombe, et chez les filles, c'est dégustation de bigorneaux. Miam. Et le lendemain matin, la production a apparemment engagé une nouvelle tortue pour venir semer le trouble chez les garçons. Véronique reconnaît-elle sa copine de la semaine dernière ?
Décidément, c'est SOS tortue ce soir. Une deuxième tortue se pointe dans l'eau et les candidats pensent qu'elle est peut-être coincée dans un filet. Que nenni, elle est venue s'accoupler avec sa copine que les aventuriers ont remis à la mer. « Les Vang laissent les animaux à leur vie sauvage », explique Denis Brogniart. Bah oui, un peu d'intimité messieurs, s'il vous plaît ! Mais les moments de légèreté ne durent pas : il y a une élimination ce soir. Ca parle d'alliance entre Claude et Philippe, et Véronique stresse.
L'heure du conseil est arrivé, et Denis parle des choses qui fâchent : l'épreuve d'immunité. « On était un peu trop confiants », avoue Philippe. « L'échec va nous permettre de rebondir », selon Jean-Pierre. Mais Claude, lui, n'a « pas peur des filles ». Puis on enchaîne sur la non-mixité des équipes, et on termine avec l'exploit de Philippe qui a fait le feu en 30 minutes. Mais trêve de bavardage, il faut dépouiller l'urne. Et sans trop de surprise, à l'unanimité, c'est Vivien qui est éliminé.
A retenir de l'épisode
*Aaaah, qu'est-ce que c'est agréable une émission courte, bien montée et qui se termine à 22h20 ! On ne s'ennuie pas une seconde. Masterchef, c'est à toi que je parle !
*Toujours pas de mot de Denis. Je pense qu'il faut envisager un mouvement collectif, une pétition, quelque chose comme ça...
*Dilemme cornélien pour les filles : garder Boris, pas très doué de ses bras ou de sa tête d'ailleurs, ou récupérer la charmante Véronique, qui n'est pas forcément plus utile pour gagner Koh-Lanta.
*Vivien va nous manquer. Il était sans doute, en dix ans de Koh-Lanta, le candidat le moins à même de relever quelque défi que ce soit.
