Des propos qui devraient faire réagir. Aurélie Casse et ses chroniqueurs accueillaient, samedi 25 mai dans "C l'hebdo", les pilotes Philippe Evain et Pierre-Henri Chuet, l'hydrologue Haziza Emma, la journaliste météo Anaïs Baydermir, le maire Allan Turpin, le musicien Manu Katché, ou encore le présentateur David Pujadas.
"Ce que je conteste, c'est l'organisation d'un tel débat"
Également invitée dans le talk-show hebdomadaire de France 5, Claire Chazal est revenue sur le débat entre Gabriel Attal et Jordan Bardella, organisé à l'occasion des prochaines élections européennes du dimanche 9 juin 2024. L'ex-reine du 20h a expliqué : "Moi ce que je conteste plus mais ça c'est très personnel, c'est l'organisation d'un tel débat. Ça ne me paraît pas très conforme aux intérêts démocratiques..."
Sur le plateau de la cinquième chaîne, Claire Chazal a poursuivi : "Je trouve qu'une chaîne qui organise un premier ministre qui met en majesté un président d'un parti, enfin non un tête de liste d'un parti qui certes est en très bonne position, bien sûr parce qu'il est en première position. Mais il y avait au moins trois listes qui déjà sont dans un mouchoir".
Pour rebondir sur ces propos, Aurélie Casse a demandé à l'ancienne star de l'information de TF1 : "Raphaël Glucksmann aurait dû être là selon vous ? Cela aurait dû être au moins un débat à trois ?". Pour lui répondre, Claire Chazal a déclaré : "Je ne sais pas moi, je me mets en tant que chaîne".
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La chroniqueuse Natacha Polony n'a alors pas manqué de faire savoir qu'elle partageait l'avis de l'invitée : "La question est parfaitement légitime en effet dans la mesure où c'est une élection à un tour. Ce n'est pas un deuxième tour de la présidentielle".
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