Matthieu Grelier, producteur de "X-Factor" : "Installer ce format, c'est une course de fond"

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Matthieu Grelier, producteur de "X-Factor" : "Installer ce format, c'est une course de fond"
Par Charles Decant Rédacteur en chef

Rédacteur en chef de puremedias.com, Charles Decant est diplômé de Sciences Po Paris. Après un passage chez Universal Music, il a rejoint l'aventure puremedias.com en 2007 et se spécialise notamment dans...

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Ce soir, les primes en direct de "X-Factor" commencent. Le producteur de l'émission nous en dit plus et évoque plus globalement les audiences, les auditions, la durée des épisodes ou encore la formation d'un boys band. Entretien inédit.

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Ce soir, X-Factor entrera dans sa deuxième phase. Après trois semaines d'audition et deux semaines lors desquelles les jurés ont sélectionné les douze finalistes, les choses sérieuses commencent avec les premières prestations en direct sur un plateau que l'on annonce comme impressionnant. Les téléspectateurs pourront également découvrir dans quelle mesure la concurrence entre les mentors impactera l'émission.

A l'occasion du premier prime en direct, Matthieu Grelier, producteur de l'émission, a accordé un entretien à puremedias.com. Il revient globalement sur les cinq premières émissions et l'alchimie du jury et évoque également des points plus précis : la durée des émissions, qui a permis à M6 de faire grimper les parts d'audience, le choix de former un groupe de garçons avec des candidats venus en solo, le départ discret des certains des favoris des auditions, de Cassandra à Mehdi, ou encore le choix de ne pas présenter les castings de manière chronologique.

A quelques heures du prime, il en dit plus sur ce que les téléspectateurs peuvent attendre, annonce que les prestations des candidats ne seront pas mises en vente et évoque le problème récurrent du choix des chansons et l'absence de groupe cette année au profit de bandes-orchestres « sur-mesure ». Entretien.

« Il y a 200 personnes qui travaillent sur l'émission »



En quoi ça consiste d'être producteur de "X-Factor" ?
Le producteur sur une émission de télé, c'est un peu le chef d'orchestre. C'est à dire qu'il y a toute une énorme équipe qui travaille sur une émission comme celle-là. Moi, mon job, ce n'est pas le producteur avec son cigare dans son grand fauteuil qui dit "Nous allons faire ça". Moi je travaille pour la société Fremantle, qui est la productrice de ce format et il y a toute une équipe artistique, technique, de production, de rédaction, musicale qui travaille sur le programme. Le producteur, c'est un peu la tête de pont de cette équipe. C'est lui qui coordonne tout le monde, qui prend les décisions finales, qui est l'interlocuteur privilégié de la chaîne avec laquelle on a un dialogue constant. Avant X-Factor j'ai travaillé sur d'autres émissions du même type, à d'autres postes donc ce que je vais dire n'est pas de la langue de bois : c'est vraiment quelque chose qu'on est obligé de construire collectivement parce que c'est lourd à fabriquer.

Vous êtes combien, au total ?
Les jours de direct, on est 200 personnes sur l'émission, le mardi soir. Après, l'équipe qui au quotidien s'occupe de l'émission est plus restreinte même si elle est conséquente. Mais quand on est le jour du prime entre tous les gens de la technique, de l'artistique, des lumières, le son, l'image, etc, il y a 200 personnes. Celui à qui tout le monde vient poser les questions, c'est le producteur.

On a pas mal parlé de l'implication des Anglais, propriétaires du format. Avez-vous eu des retours de leur part ? On a dit qu'ils étaient assez mécontents de la saison diffusée sur W9...

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La saison sur W9, je ne peux pas vous en parler parce que je n'en étais pas le producteur, je ne travaillais pas à Fremantle à cette époque-là. Pour cette saison, il y a un dialogue avec les Anglais, oui, mais ils sont plutôt dans un rôle d'aide, de partage de leur expertise. Mais on est en France et ils savent très bien que X-Factor c'est un concept, un télé-crochet, avec des règles mais qu'on a adapté avec notre sensibilité française. Les Anglais viennent de temps en temps, ils nous disent "Attention ne faites pas cette erreur parce que nous on l'avait faite" mais ils ne sont pas dans un rôle d'inspecteur et nous on n'est pas là pour faire un produit anglo-saxon. Mais ils sont assez contents de la version qu'on a faite, y compris Simon Cowell.

« Au plus on avance, au plus l'émission prend sa spécificité »



Quel bilan tirez-vous des cinq premières semaines de l'émission ?
Le programme, on l'a fait fait du mieux possible et il est vraiment conforme à ce qu'on avait imaginé, c'est-à-dire de proposer un télé-crochet nouvelle génération. C'était ça le but, de faire un télé-crochet, qui est un genre qui existe déjà et que les gens aiment bien, mais en apportant quelques nouvelles touches, quelques ressorts nouveaux. Ces nouveautés, ces différences se sont affirmées au cours des épisodes : sur les premières auditions, même si c'était en public, ça reste des auditions devant un jury, et certains téléspectateurs ont pu trouver ça assez proche de ce qu'ils connaissaient déjà, même si c'était ouvert à d'autres tranches d'âge et aux groupes. Mais plus on avance dans les épisodes, plus l'émission prend sa spécificité par rapport aux télé-crochets qui l'ont précédée, et surtout le rôle des jurés qui sont aussi mentors des candidats. Et sur les live je pense que ce sera encore plus intéressant parce qu'on aura cette double compétition entre les candidats d'un côté et les mentors de l'autre.

Vous parliez des castings, et justement on a pu se demander pourquoi vous n'aviez pas respecté la chronologie, avec des extraits des auditions parisiennes dans les trois premières émissions ?
C'était un parti pris de montage, de narration, de mettre Paris en tant que fil rouge. C'est la ville où on est resté le plus longtemps : on est resté cinq jours, avec parfois deux sessions par jour donc on avait énormément de matière et c'était de tout concentrer dans un épisode donc on a pris le parti, bon ou mauvais je ne sais pas, rétrospectivement on peut toujours se reposer la question, de raconter une des trois grandes villes de province dans chaque épisode et un fil rouge sur Paris afin que ce soit plus riche, un peu plus mélangé. Sinon on aurait peut-être dû faire un épisode entier ou un épisode et demi sur Paris.

« Le jury ne s'est pas rencontré avant qu'on le caste »


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Que pensez-vous de l'alchimie du jury ?
Très honnêtement, on en est très content. Après je parle de ça de l'intérieur, les gens qui jugent vraiment ce sont les téléspectateurs et les observateurs des médias. Mais je pense qu'une des choses qui a fonctionné comme on voulait, c'est l'alchimie entre les quatre. Quand on fait le casting d'un jury on essaie de choisir des gens qui sont crédibles, qui sont professionnels, qui ont des personnalités et des avis différents pour que justement ils se complètent et qu'on se retrouve avec des sensibilités, des goûts et des générations différentes. On avait tout ça sur le papier mais après, est-ce que l'alchimie humaine se crée ? On ne peut pas diriger ça.

Justement, quand le jury a été constitué, est-ce que vous avez mis les quatre jurés ensemble avant de prendre une décision ?
Non, on les a fait se rencontrer une fois qu'on les avait choisis tous les quatre. On n'a pas fait de training ou de casting collectif. Après, Christophe et Olivier se connaissaient déjà, ça on le savait parce qu'ils avaient travaillé ensemble à l'époque de la Nouvelle Star et sur le premier album de Christophe. Après, Véronique et Henry, ils ne se connaissaient pas. On est allés tous voir Véronique à la Cigale, à l'automne et la chance qu'on a eue, et ça on ne peut pas le commander, c'est que ça a collé entre eux. Je pense que les gens le verront sur les primes. C'est un jury qui s'appelle, qui se voit en dehors, ils ont créé un respect et une amitié en dehors de ça. J'espère que ça s'est ressenti lors des premiers épisodes déjà. Mais tout ça n'empêche pas qu'ils soient en compétition, et ça, ils le prennent très à coeur, et on le verra sur les primes.

« M6 ne nous a pas demandé de rallonger les émissions »



En termes de bilan, on peut parler des audiences, qui ont été bonnes mais pas transcendantes, et notamment inférieures aux castings de Nouvelle Star l'an dernier. Comment l'expliquez-vous ?
Les audiences, c'est plutôt le diffuseur qui les commente parce que c'est lui qui en dépend. De notre côté, c'est un nouveau programme donc on savait que ça prendrait du temps de l'installer. Il faut que les téléspectateurs sachent que ça existe, aujourd'hui il y a une offre télévisuelle très riche donc même si nous on est toute la journée dans X-Factor, les gens ont aussi autre chose dans leur vie que ça ! (Rires) Il faut aussi que les gens comprennent le concept, s'approprient l'émission, qu'ils viennent la voir et tout ça, ça prend du temps. C'est une course de fond. Les signes encourageants qu'on a, et la raison pour laquelle on est contents de faire ce programme, c'est que les gens qui sont venus sont revenus, les gens qui sont venus sont restés - les courbes d'audience sont très bonnes, pour parler de cuisine interne, et les gens qui étaient là au début de l'émission étaient encore là à la fin. Sur les émissions qui étaient plus longues, on était leader en deuxième partie de soirée, donc on va dire qu'on a une tendance qui est globalement positive. Après, je suis persuadé qu'on fera des bons primes en direct et on fera le bilan au bout des 16 semaines !

Justement, en parlant de longueur d'émission, certains téléspectateurs se sont plaint d'une durée excessive au fil des semaines. Est-ce qu'il y a eu une demande de la chaîne de rallonger les émissions pour faire grimper la part d'audience ?
Il n'y a pas eu de remontage non. Très honnêtement, on avait les trois épisodes d'auditions et on savait depuis le départ qu'on voulait faire un épisode sur les 3 jours et un épisode sur les maisons des juges. On savait très bien qu'on avait une matière très riche et on avait décidé d'un commun accord avec M6 de faire des épisodes plus longs et de raconter des histoires plutôt que de faire quelque chose de trop rapide, trop survolé. Là, on avait un peu plus de temps pour se poser et à l'approche des primes, c'est important que les téléspectateurs puissent découvrir découvrir les candidats, s'attacher à eux. Dans les maisons des juges il fallait les entendre chanter, les entendre parler pour savoir qui ils sont donc ce n'est pas quelque chose qu'on a décidé en cours de route. Et c'est un tel travail de montage qu'on n'aurait pas pu le changer d'une semaine sur l'autre.

Ce soir, Sandrine Corman prendra seule les rênes de X-Factor mais on a pu être surpris de voir à quel point Jérôme Anthony était présent lors des castings. C'est même lui qui fait la voix off...
C'est ce qui a été annoncé lors de la conférence de presse de lancement, c'est-à-dire qu'on avait décidé que sur la phase de casting, Sandrine et Jérôme accompagneraient les candidats et se partageraient les rôles, mais qu'à partir du moment où on arriverait sur la phase des live, Sandrine prendrait la main sur l'émission tandis que Jérôme se concentrerait sur la partie Fan Factor, l'émission web qui aura lieu en parallèle du prime. Le plateau de cette émission se trouvera d'ailleurs sur le même plateau que le prime, donc on sera tous au même endroit et je crois que c'est une première parce que les deux émissions auront lieu en simultané. C'est un dispositif assez excitant.

« Mehdi dansera aux côtés des candidats »



On a pu découvrir des candidats marquants lors des auditions qu'on a pas revus lors des phases suivantes, je pense notamment à Mehdi ou au duo Cassandre. Que leur est-il arrivé ?
C'est deux cas différents. Les Cassandre ont fait leur audition à Paris et ils étaient sélectionnés pour le Palais des Sports à Paris. Ils sont tous les deux enseignants dans l'éducation nationale et pour pouvoir continuer il fallait qu'ils demandent une disponibilité. Et d'après ce qu'ils m'ont dit au téléphone, c'était trop court au niveau des délais pour obtenir leur disponibilité pour venir à Paris pour les 3 jours et pour continuer dans l'aventure s'ils avaient été sélectionnés. Donc ils n'ont malheureusement pas pu se libérer pour la suite.

Et Mehdi ?
Mehdi, c'est un cas un peu différent. C'est un chanteur mais aussi et surtout un danseur qui avait déjà des expériences professionnelles antérieures puisqu'il faisait partie de la troupe de la comédie musicale Cléopatre de Kamel Ouali, et qui figurait sur 2-3 titres du spectacle. Il avait une expérience professionnelle plus importante que d'autres candidats et de lui-même, en en discutant pour des raisons d'équité, on a jugé que c'était plus sage qu'il s'arrête là dans son parcours de candidat. Mais comme c'est un excellent danseur, notre chorégraphe lui a proposé de rejoindre la troupe des danseurs du prime et il a accepté donc il dansera aux côtés des candidats avec qui il a passé les auditions, c'est une autre façon de prolonger son parcours dans X-Factor.

En revanche, on n'a pas loupé les cinq garçons qui ont été regroupés à l'issue des trois jours pour former le groupe 2nde Nature. C'est une possibilité que vous aviez évoquée avec les jurés avant les délibérations ?
Non, ce n'est pas une possibilité qu'on avait évoquée, mais quand ils ont dû faire leur choix...

... Parce que Christophe et Henry avaient déjà regardé la version anglaise et c'est un ressort utilisé l'an dernier dans l'émission...
Mais ils avaient tous regardé ! Quand on leur a proposé de faire ce programme, ils ne le connaissaient pas tous donc ils ont regardé. Est-ce que ça les a influencés, je n'en sais rien. Mais ce qui est sûr c'est que quand ils ont dû faire leur choix sur la catégorie des garçons de moins de 25 ans, c'est celle qui a été la plus dure pour eux. Ils avaient tous un chouchou différent et ils avaient beaucoup de mal à arriver à 6 candidats. De mémoire c'est Henry ou Olivier qui ont lancé l'idée. Il faudrait leur demander à eux si l'émission anglaise les a inspirés.

« Les prestations ne seront pas mises en vente sur iTunes »



Le prime a lieu ce soir, à quoi peut-on s'attendre niveau décor ?
On a la chance d'avoir pu faire un décor comme on en a pas vus beaucoup sur une émission de ce type en France, avec beaucoup de lumières, de vidéos, un trop beau dispositif technique. Cela dit, on parle beaucoup de l'aspect show pour l'émission, mais on proposera des choses assez variées. Il y aura de la mise en scène, des chorégraphies, des effets visuels sur certaines prestations, mais on va aussi faire des choses très acoustiques, très intimistes, très musicales pour être sur plusieurs registres. C'est ça la force du plateau qu'on a : on peut faire des choses gigantesques et accueillir des artistes internationaux, dans l'esprit du plateau de l'émission britannique, mais on va aussi pouvoir réduire la configuration et se concentrer sur la musique, sans artifice.

Contrairement à Nouvelle Star, il n'y aura pas de groupe mais des bandes-orchestres, comme sur la version anglaise c'est bien ça ?
Oui, c'est ça mais les bandes-orchestres seront enregistrées chaque semaine en studio avec de vrais musiciens, sous la direction d'un arrangeur et d'un directeur musical qui travaillent toute la semaine pour créer des bandes-orchestres sur-mesure pour les candidats, dans leur tonalité, avec des arrangements qu'on travaille avec eux et leur mentor. C'est comme si on faisait un album de 12-15 titres chaque semaine en fait. Et en dehors de ces bandes-orchestres, on aura aussi des prestations qui seront en live complet, des guitare-voix, des piano-voix.

Et étant donné tout ce travail, est-ce que ces bandes-orchestres enregistrées en studio serviront à mettre en vente les prestations studio sur iTunes, comme aux Etats-Unis ou en Angleterre ? Ou même les prestations live ?
Non, ce n'est pas prévu.

« Les chansons seront choisies par la production, les mentors et les candidats »



Au niveau du choix des catégories, c'est justement "la production" qui a attribué les catégories aux jurés. C'est donc vous qui étiez derrière ces décisions ?
Dans le concept original, c'est effectivement la production qui attribue les catégories à chaque juge. Donc on était une équipe assez resserrée, moi, Marie Genêt qui est la directrice des divertissements et des magazines chez Fremantle et qui est vraiment la tête de pont aussi de cette émission chez Fremantle. On a attribué les catégories en notre âme et conscience, en fonction de là où on pensait que tel juré pourrait apporter son expertise et son expérience pour que le spectacle soit bon. On a fait ça en fonction de ce qu'on avait pu observer sur les castings et là où ils seraient les meilleurs mentors. Le seul critère qui est entré en jeu, c'est l'artistique.

Sur Nouvelle Star, on a énormément parlé des questions de choix de chansons. Comment ça se passe sur X-Factor ?
Le choix se fait en collaboration entre les candidats, les mentors et la production. On fait tous des listes chacun de notre côté, on a demandé à chacun des candidats de nous fournir des listes de 50 chansons en français qu'ils aimeraient chanter, 50 chansons en anglais. Nous, de notre côté, on a travaillé avec les coaches vocaux, les programmateurs musicaux et avec notre expérience de ce type de programmes qu'on avait déjà auparavant sur Nouvelle Star. Et puis il y a les mentors qui arrivent aussi avec des idées, souvent excellentes, qui sont allés chercher dans les idées des candidats, dans les nôtres et au final c'est lui qui valide et lui qui assume totalement ce qui est proposé par son candidat : le visuel, la mise en scène, le choix de la chanson, etc.

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