

Un univers qu’on dit impitoyable… Samedi 8 février 2025, Clara Morgane était l’invitée du programme “On refait la télé” sur RTL. L’occasion pour elle d’évoquer ses débuts dans le X, l’argent des publicités pour le téléphone rose, sa participation au concours “Danse avec les stars”, etc.
Au cours de l’interview, le présentateur Eric Dussart a cherché à savoir : “On dit Clara Morgane que vous avez été blessée par la manière dont certains animateurs, journalistes vous ont traité dans leurs émissions il y a quelques années ?”. Pour lui répondre, la quadragénaire a expliqué : “Très peu de gens ! Euh deux en particulier, je n'ai pas envie de les mettre en avant forcément maintenant. Mais deux animateurs m'ont posé problème. J'ai envie de le raconter mais je pense que je le ferai dans un livre posé”.
Au micro de la radio RTL, Clara Morgane n’a pas hésité à ajouter aussitôt : “C'est carrément de la manipulation, des choses fausses qui ont été mises en avant, calculées à l'avance pour un cas. Et pour un autre, carrément un machisme vraiment débordant !”.
Face à de telles déclarations, Eric Dussart a demandé : “Vous vous êtes sentie piégée parfois à la télé ?”. Celle qui est désormais connue pour ses spectacles de cabaret et ses calendriers a alors précisé : “Oui, surtout une fois en particulier. Le premier cas dont je vous parlais. Piégée, un vrai piège ! C'est possible, ça peut arriver. On a une discussion hors l’antenne, on se met à parler et là, il y a quelque chose, qui est de l'ordre du privé, qui est exposé. Moi je suis choquée, c'est horrible à vivre parce qu'en plus, moi, je n'avais pas les armes. Aujourd'hui, si ça m'arrivait, je pense que je pourrais mieux me défendre qu’à l'âge où ça m’est arrivé, où j'étais pas du tout prête en fait”.
L’ex-candidate de “DALS” a conclu par rapport à ces expériences négatives avec ces deux animateurs télé : “C’était soit on pleure, soit on quitte le plateau. Et dans les deux cas, c'est un mauvais choix. Donc bon aujourd'hui, je saurais mieux réagir mais c'est vrai que franchement, on est d'accord que deux cas sur 25 ans, c'est pas énorme !”.
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