François Fillon réagit aux violences dont ont été victimes des journalistes en marge de son meeting à la porte de Versailles organisé dimanche 9 avril. Invité du "Talk Le Figaro", le candidat Les Républicains à la présidentielle a d'emblée signifié qu'il condamnait ces violences.
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"D'abord, je les condamne. Je condamne toutes les violences", a-t-il affirmé. Avant d'ajouter : "Simplement j'invite ces journalistes à se poser la question : pourquoi est-ce que dans les meetings, il y a une crispation à leur égard ? Chacun doit se poser des questions...".
"On a appelé ces journalistes pour leur présenter nos excuses"
Relancé pour savoir si ces violences étaient selon lui de la responsabilité des journalistes, François Fillon a tenté de préciser sa pensée. "Je ne mets rien en cause. Je condamne d'abord toutes les violences. Et naturellement, on a appelé ces journalistes pour leur présenter nos excuses au nom de l'organisation de ces meetings. Mais je sens bien cette violence dans les propos des Français. Et les Français sont des Français. Il n'y a pas de bons Français et des mauvais Français. Il n'y a pas les Français qui sont en accord avec le système médiatique et ceux qui le critiquent. Donc, que chacun s'interroge sur ses propres responsabilités".
Dimanche, une équipe du "Petit Journal" de Canal+ a été expulsée manu militari par le service d'ordre du meeting de François Fillon. En marge de cette même réunion publique, le journaliste de "Quotidien", Hugo Clément, a également annoncé avoir été giflé par un des spectateurs venu assister au meeting. puremedias.com vous propose de revoir cette séquence à partir de 32'10.