L'univers du romancier américain pour la première fois adapté en série. Après "Da Vinci Code" (2006), "Anges et démons" (2009), et "Inferno" (2016), trois films avec Tom Hanks dans le rôle du symbologue Robert Langdon, "The Lost Symbol" donne à découvrir un héros rajeuni sous les traits de l'acteur Ashley Zukerman ("Succession", A Teacher" ou "Fear Street" sur Netflix). Les trois premiers épisodes de la seule saison de la série - tirée du roman "Le symbole perdu" publié par Dan Brown en 2009 - sont diffusés ce samedi 13 août en prime time sur M6.
Une conspiration effrayante
Dans l'épisode inaugural, Robert Langdon, jeune professeur à Harvard, se retrouve entraîné dans une mystérieuse aventure lorsque son mentor, Peter Solomon (Eddie Izzard), est kidnappé. Armé de ses connaissances en histoire, symboles et langues mortes, Langdon doit travailler avec la fille de Peter, Katherine Solomon (Valorie Curry) et un agent du Capitole et la CIA pour le retrouver. Le symbologue va alors mettre à jour une conspiration effrayante, bien avant les événements du "Da Vinci Code".
Malgré les effets d'annonce, "cette adaptation développée en série par Dan Dworkin et Jay Beattie (la série "Scream", "Outer Banks") manque de rythme et de mordant. À tel point que le suspense n'est pas toujours au rendez-vous", critique toutefois "Allociné"*. Avant de nuancer : "Malgré ces bémols, les inconditionnels de l'univers de Dan Brown pourraient bien y trouver leur compte. Le méchant de l'histoire réserve quelques surprises. Et la série, portée par une distribution convaincante permet de découvrir de nouvelles facettes de Robert Langdon".
M6 consacrera ses samedis soir à la série jusqu'au 27 août. "The Lost Symbol" succède dans cette case difficile pour la chaîne de Nicolas de Tavernost à "NCIS Enquêtes spéciales", dont le final de la saison 19, il y a une semaine, a attiré, en moyenne selon Médiamétrie, 1,31 million de sériphiles, pour une part d'audience de 8,6%. La fiction, renouvelée par CBS pour une saison 20, a recueilli une part de marché de 8,5% sur la cible commerciale féminine.
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