Le retour d'une série politiquement incorrecte. Le service Amazon Prime Video a mis en ligne ce vendredi les trois premiers épisodes de la saison 2 de sa série américaine de super-héros "The Boys", inspirée du comic du même nom. Le cast de la saison 1 est de retour au complet avec Karl Urban - qui incarne Billy Butcher, le leader de la bande principale - Jack Quaid, Tomer Kapon, Abtony Starr, Erin Moriarty, Dominique McElligott, Jessie Usher et Chace Crawford.
Une saison 3 déjà en préparation
Et pour faire durer le plaisir, la plateforme d'Amazon proposera un nouvel épisode par semaine chaque vendredi jusqu'au 9 octobre, puisque cette saison ne compte que huit épisodes, à l'instar de la première saison. La série a par ailleurs été déjà renouvelée cet été pour une saison 3.
Créée par le showrunner Eric Kripke ("Supernatural"), "The Boys" s'amuse à détourner les codes de l'habituelle série de super-héros puisque dans cet univers, même s'ils sont populaires et respectés, ils préfèrent abuser de leurs pouvoirs plutôt que de faire le bien. Les "Boys" sont déterminés à poursuivre leur quête : révéler le vrai visage des Sept et de Vought International, le richissime conglomérat qui régit ces superhéros et se fait une spécialité d'étouffer leurs secrets les moins avouables.
Cette saison qui pousse encore un peu plus loin le curseur de l'absurde et du gore est marquée par l'arrivée d'une nouvelle super-héroïne dans la bande des Sept, Stormfront (campée par Aya Cash), accro aux réseaux sociaux et qui va bouleverser les règles établies.
Du côté des Boys, Starlight (Erin Moriarty) gagne en assurance au sein de ses collègues considérés comme des ennemis publics numéro un. La société Vought accueille par ailleurs un nouveau leader incarné par Giancarlo Esposito ("Better Call Saul", "The Mandalorian"). Enfin, "The Boys" continue de faire référence à l'actualité. "Clairement, ce qui se passe aux États-Unis, avec l'interdiction de certaines nationalités de venir sur le territoire a influencé l'écriture de notre nouvelle saison", a ainsi confié Eric Kripke à nos confrères d'"Allociné".
