"Ça me débecte" : En larmes, Adrien accuse Cécile et Marion d'avoir voulu "condamner" le binôme qu'il forme avec Patricia dans "Pékin Express"

"Elles ont fait un choix de facilité en voulant mettre la tête sous l'eau de certains, ça me débecte". Ce jeudi 13 mars 2025, Adrien n'a pu retenir ses larmes lors de l'étape 9 de "Pékin Express", lorsque les binômes ont été séparés pour la fin de la course du jour. "À partir de maintenant, vous allez vous partager les rôles. C'est la règle des équipes divisées", a annoncé de but en blanc Stéphane Rotenberg aux 5 duos encore en course. Un membre de chaque équipe devait rallier le point d'arriver en stop le plus rapidement possible de sorte à éviter la dernière place, tandis que l'autre participait à une redoutable épreuve d'immunité sous le signe de l'endurance. "Vous ne saurez jamais si votre partenaire est en train de faire une belle course, une belle épreuve ou s'il galère. Il faut être le meilleur possible", prévenait l'animateur historique du jeu de M6.

"C'est un coup de tonnerre, je ne me vois pas sans Patricia", réagissait à chaud Adrien. "Je me décompose, je me dis qu'on va devoir jouer toutes seules", ajoutait l'une des deux soeurs jumelles Amandine et Alison. Mais le pire restait à venir pour les candidats. Cécile et Marion, les deux amies étudiantes, étant arrivées premières la veille au soir dans la première partie de la course, elles avaient pour avantage de se répartir les rôles dans leur binôme mais aussi de choisir qui ferait quoi chez leurs adversaires. 

"Notre but, c'est de mettre celui qui gère le moins en stop, en stop, et la personne la moins endurante en endurance. Donc on cherche à les mettre face à leur point faible", expliquait Cécile, qui fera le stop durant cette épreuve, face caméra. "Forcément, la réaction des autres nous stresse car ils vont mal le prendre. Ça va être un peu la guerre", poursuivait-elle, annonçant la couleur. "Chaque choix stratégique est important. On sait qu'il y aura peut-être des représailles mais il faut penser à nous, le but c'est de gagner", ajoutait sa coéquipière Marion, qui disputera de son côté l'épreuve d'immunité.

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Le premier binôme à subir leur loi a été celui des cousins belges, Mattéo et Esmeralda. Cette dernière espérait être désignée pour faire le stop. "Je suis très proche d'elles donc elles ne vont pas me foutre (sic) dans l'embarras", affirmait la jeune femme face caméra. Les deux copines ont évidemment fait l'inverse de ce que souhaitait le binôme, en attribuant le stop à Mattéo et l'épreuve d'endurance à Esmeralda. "Pourquoi elle fait ça ?! Vous faites de la merde là", a immédiatement réagi Esmeralda. "Je me rends compte qu'à l'étape 9, on joue la stratégie et plus trop les affinités. Je suis un peu déçue et je me dis que ça doit être Cécile (à l'initiative de cette stratégie, ndlr)", a déploré la Liégeoise.

Vient le tour de Patricia et Adrien. Les amis avec 30 ans d'écart ne souhaitaient qu'une chose : que Patricia, qui ne parle pas un mot d'anglais, fasse l'épreuve et qu'Adrien soit désigné pour finir l'étape en stop. C'est évidemment le contraire qui a été décidé par Cécile et Marion. "Je suis consterné", a confié le jeune homme face caméra, au bord des larmes. "Mettre ma Patricia au bord de la route sans un mot d'anglais, c'est vraiment un choix pour nous condamner". "Elles ont été très mauvaises et c'est un petit mot. Je ne veux plus entendre parler d'elles", a renchéri Patricia, très en colère.

Les jumelles Amandine et Alison ainsi que Judith et Étienne ont subi le même sort. Chacun a hérité du rôle qu'il souhaitait le moins. "C'est un jeu, elles jouent et elles ont le droit. Mais il y a des fois ou il y a des coups que tu peux éviter de faire. Si tu es fort, affronte les forts. Là elles ont fait un choix de facilité en voulant mettre la tête sous l'eau de certains. Je suis séché", poursuivait en larmes Adrien. "Je n'arrête pas de dire qu'elles sont stratèges et que si elles peuvent nous la mettre à l'envers, elles le feront. Là, on a eu l'occasion de voir que j'avais raison", estimait de son côté Mattéo.