Jacques Vendroux (Europe 1) : "J'ai envie de prouver à Radio France qu'ils ont fait une énorme connerie"

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Jacques Vendroux (Europe 1) : "J'ai envie de prouver à Radio France qu'ils ont fait une énorme connerie"
Par Florian Guadalupe Journaliste
Passionné de sport, de politique et des nouveaux médias, Florian Guadalupe est journaliste pour Puremédias depuis octobre 2015. Ses goûts pour le petit écran sont très divers, de "Quelle époque" à "L'heure des pros", en passant par "C ce soir", "Koh-Lanta", "L'équipe du soir" et "La France a un incroyable talent".
"Les Géants" de Jacques Vendroux sur Europe 1 © Abaca
La voix de la station du groupe Lagardère accorde un entretien à puremedias.com.

Le journaliste aux bientôt 15 coupes du monde. A près d'une semaine du lancement de la nouvelle saison de la Ligue 1, Jacques Vendroux accorde un entretien à puremedias.com pour évoquer l'arrivée en quotidienne de "Europe 1 Sport" à la rentrée prochaine. L'ex-figure des sports de Radio France fera partie de la bande de Lionel Rosso. Ce dernier dirigera la tranche de 20h à 23h30 du lundi au dimanche sur Europe 1. Dans cette interview, la voix de 74 ans revient également sur son départ houleux en décembre 2021 de la Maison ronde avec laquelle il a collaboré durant 55 ans.

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Propos recueillis par Florian Guadalupe.

puremedias.com : A quoi va ressembler cette quotidienne d'"Europe 1 Sport" à la rentrée ?
Jacques Vendroux
: Elle sera présentée par Lionel Rosso. Le deuxième présentateur n'a pas encore été désigné. Ce sera organisé par Jean-François Pérès (directeur des sports d'Europe 1, ndlr). Il va y avoir plusieurs rendez-vous avec des thématiques. Par exemple, le jeudi, de 20h à 20h30, il y aura un grand responsable du sport dans le studio. Ce pourra être la ministre des Sports, Brigitte Henriques (présidente du Comité national olympique, ndlr), Bernard Laporte, Gilles Moretton (président de la Fédération française de tennis, ndlr)... Il y aura toujours un décisionnaire du sport. Quoi qu'il arrive.
Il y aura aussi une émission, dans un jour à définir, que j'appelle - le titre n'est pas acté - "Que reste-t-il de nos amours ?". Je veux savoir ce que sont devenus, par exemple, Marie-José Pérec, Jean-François Lamour, Marcel Cerdan Jr... Refaire vivre le temps d'une émission les gens qui nous ont éblouis et épatés.

Ce sera un peu vintage.
Oui ! Mais j'ai toujours rêvé de faire ça. En fait, Europe 1 me permet de réaliser mes derniers rêves professionnels. Mes podcasts ont eu un total succès, avec ceux sur Laurent Blanc, Michel Denisot... C'est curieux. J'ai passé 55 ans à Radio France et Europe 1 me permet de réaliser mes rêves. C'est fou comme histoire ! C'est fou !

Ils ont dit
"J'ai un projet qui s'appelle 'Le club des ministres'. Des anciens ministres, des Sports ou non, qui viennent débattre un soir"
Jacques Vendroux

Quels seront les consultants de l'émission ?
Alain Giresse et Dominique Grimault nous rejoignent. Il y en aura d'autres que j'essaye encore de convaincre.

Où en êtes-vous avec Michel Platini en tant qu'intervenant régulier ?
Nous discutons toujours avec lui. Peut-être que ça va marcher ou peut-être pas. J'aimerais beaucoup à titre personnel et à titre professionnel.

Quels sont ceux que vous essayez de convaincre ?
Je ne peux pas vous en parler encore. J'essaye de les convaincre. Mais si je prends Platini, je ne peux pas en prendre d'autres. Il faut que j'attende sa réponse. Ensuite, je m'intéresserai aux autres. Je disais à la direction que j'avais envie d'élargir le champ des intervenants dans l'émission. Et j'ai un projet qui doit encore être validé. Ca s'appelle "Le club des ministres". Des anciens ministres, des Sports ou non, qui viennent débattre un soir. C'est à l'état de projet.

Y aura-t-il des visages de Canal+ ?
Oui. Il y aura forcément une grande cohésion entre Canal+ et Europe 1. Mais ce n'est pas moi qui gère. C'est un type formidable qui s'appelle Donat Vidal Revel. C'est le patron. Il est très sport. Il connaît très bien la radio. Travailler avec lui est un réel plaisir. Constance Benqué et lui me donnent envie d'avoir envie. Je vais pouvoir faire des interviews qui sortent de l'ordinaire ! Et je vais faire grâce à eux ma 15e Coupe du monde !
Moi, j'ai passé 55 ans à Radio France. Je suis parti pour les raisons que tout le monde connaît. En octobre 2021, j'avais reçu une offre d'Europe 1. J'ai accepté quasiment tout de suite. Pour plusieurs raisons, il ne fallait pas l'annoncer avant le 20 décembre. Passons... Il fallait que je digère...

Ils ont dit
"'Europe 1 Sport' aura un côté espiègle et provocateur tout en restant dans la mesure"
Jacques Vendroux

Y aura-t-il aussi du débat et de l'humeur dans "Europe 1 Sport" ?
On ne va pas entrer dans le débat bête et méchant. Mais il y aura des débats avec plein de consultants. Je pense que ce ne sera pas le style d'Europe 1 d'aller vers le clash. On ne va pas s'engueuler tout le temps. On peut ne pas être d'accord, mais on peut le dire avec des paroles douces. J'ai le droit de dire à Grimault : "Je ne suis pas d'accord avec toi !". Mais on ne va pas entrer dans les excès.

Comment cette émission va se différencier des autres émissions radios de sport ?
Elle sera plus sereine. Il y aura de l'affectif. Un côté espiègle et provocateur tout en restant dans la mesure. Moi, j'ai commenté et je commente encore des matchs. Je ne vais pas dire : "Le gardien de but est nul". Je vais dire : "Le gardien de but n'est pas bon en ce moment". C'est tout ! La différence va être là-dessus. Toute ma carrière, j'ai été comme ça et je ne vais pas changer maintenant. Europe 1 nous propose un challenge incroyable. C'est magique ce projet ! On va quand même faire 3h30 de sport par jour ! Il faudra s'investir... Mais le problème, c'est qu'il faut s'investir ! Chez Europe 1, ils sont investis ! Et au milieu de tout ça, il y a le groupe Canal qui va nous aider. Mais aussi "Paris-Match" avec Patrick Mahé, un fondu de football, le "Journal du dimanche" avec Jérôme Béglé. C'est quand même un groupe magique et exceptionnel !

Pourquoi Europe 1 a fait ce choix de basculer "Europe 1 Sport" en quotidienne ?
Le sport fait rêver ! C'est une porte de sortie ! On voit les audiences en radio. Elles ont été très bonnes pour "Europe 1 Sport". On voit aussi les audiences du sport à la télévision, elles sont excellentes. Sur Europe 1, nous espérons donner des portes de sortie aux auditeurs, en faisant de belles émissions le soir, avec des gens compétents. Je ne serais pas allé à Europe 1 si je n'avais pas vu qu'il y avait une qualité humaine incroyable. Alors, oui, c'est vrai, les sondages ne sont pas très bons en ce moment pour Europe 1. Mais ça va changer ! On va tout faire pour ça et les rapports humains sont extrêmement importants.
C'est pour ça que j'ai pu digérer mon départ de Radio France. Là-bas, il n'y a plus de qualités humaines. C'est fini. C'est terminé. Ils deviennent stéréotypés. Ce n'est pas en lançant une émission sur France Inter avec un fil rouge... Il faut aimer ce métier ! Et quand vous l'aimez, vous le respectez.

Ils ont dit
"Qu'il fasse la même carrière que moi, après il pourra l'ouvrir !"
Jacques Vendroux

Pensez-vous pouvoir passer devant "L'after foot" de RMC ? Vous êtes presque sur le même créneau.
Moi, je respecte beaucoup (Daniel) Riolo et (Gilbert) Brisbois. J'espère qu'on va passer devant eux. J'en sais rien. Je vais vous dire qu'on va essayer de passer devant eux, tout en respectant leur travail. Moi, je ne rentre pas dans la compétition. Indirectement, c'est de la compétition. Mais ce sera une compétition dans le respect. J'espère que, eux, respecteront notre travail. Mais comme tous les autres, hein !

franceinfo: et France Inter vont lancer de nouvelles émissions de sport la saison prochaine. Est-ce une bonne idée ?
Ils ne font que relancer ce que j'ai mis en place il y a quatre ans. C'est aussi simple que ça. Ils font un copier-coller. Il n'y a pas beaucoup d'imagination. C'est exactement ce que je faisais. Exactement ! Je suis content pour eux... Je ne veux pas aller plus loin. Je ne veux plus parler d'eux. Je ne veux plus parler de deux ou trois personnes qui ne méritent pas d'être à Radio France. Ils ont cassé le jouet de certains.

Vous ne dites pas son nom mais vous en voulez encore à Nathalie Iannetta, la directrice des sports de Radio France ?
A vie ! Vous vous rendez compte ?! Moi, j'étais à Radio France depuis 55 ans. Je ne demandais qu'à rester en consultant, simple consultant. Bon... Il faut bien que ça se sache. Quand j'ai quitté la direction des sports de Radio France, ils ont voulu me garder en consultant. J'ai dit oui. Ils m'ont dit : "On n'a pas d'argent". J'ai dit : "Je m'en fous". J'ai accepté par la peur du vide. J'ai accepté l'inacceptable, mais je l'ai accepté. J'ai été payé 128 euros par mois. Elle... En octobre dernier, elle s'est permis de dire ce qu'elle a dit à un journaliste de "L'Equipe" - qui est l'un de mes amis en plus - au sujet d'un mec qui est là depuis 55 ans, qui a une carrière qui n'a rien à voir avec la sienne. Elle a dit : "On ne renouvelle pas le contrat de Jacques Vendroux mais on fera appel à lui si on a besoin de lui". Si on a besoin de lui pour nettoyer les chiottes, pour nettoyer sa voiture, pour aller chercher du coca... Je n'accepterai jamais. Elle n'est pas qualifiée ! Moi, j'ai travaillé avec Jean-Luc Hees, avec Jean-Marie Cavada... Jamais on ne m'a parlé comme ça ! Jamais ! Jamais ! Jamais !

Et l'autre, c'est Vincent Giret. Comme ça, vous savez tout ! C'est le directeur soi-disant des antennes. Il m'a dit : "Ce serait bien que tu prennes du recul". Déjà qu'il fasse la même carrière que moi, après il pourra l'ouvrir ! Pour ça, je leur en veux à vie ! A vie ! Ce sont des mauvaises personnes dans la profession. Il faut être clair ! Il y en a d'autres de Radio France qui ont dû quitter le groupe à cause d'eux et qui n'ont pas pu réaliser leurs rêves car ils les ont saccagés ! Moi, j'ai eu cette chance d'avoir une proposition intéressante et ce n'était même pas une proposition financière. Mon principal critère était de travailler avec des gens que j'aime et des gens qui m'aiment, de travailler à l'affect. Europe 1 m'a prolongé jusqu'en juillet 2023. J'ai envie de réussir, pour prouver à ceux de Radio France qu'ils ont fait une énorme connerie.

Ils ont dit
"Vous croyez que j'ai été objectif pendant 55 ans ? Vous croyez que je n'ai pas défendu l'indéfendable ? J'assume tout !"
Jacques Vendroux

Mais est-ce qu'il ne faut pas aussi laisser plus de place à des journalistes plus jeunes ?
Pas toujours ! Il faut prendre des journalistes plus jeunes. On n'est pas éternels. Mais il faut garder dans ses équipes quelques mecs de 70-75 ans, qui ont une expérience que les jeunes n'ont pas. C'est quasiment indispensable. Dans toutes les grandes radios, les dirigeants ont un passé qui a existé par Radio France, grâce aux différentes locales. Il y a des mecs qui ont pris leur retraite à 70 ans. Il faut continuer à les utiliser comme consultant. Pas éternellement ! Mais au moins pendant un an.

Vous avez débuté votre carrière en 1966. Avez-vous le sentiment que le métier a beaucoup évolué ?
Non ! Le métier de journaliste sportif est le même ! Simplement, il faut être motivé et il faut aimer. Il faut aimer les auditeurs et les gens. Ce métier n'a pas changé du tout. Mais est-ce que le commentateur sportif de maintenant, qui a 25-30 ans, aime les gens comme nous on les a aimés ? C'est aussi simple que ça. Certains jeunes journalistes sont très mécaniques... Et il faut de l'affect ! Si vous ne mettez pas un peu d'affect dans tous les rapports humains, vous êtes mort ! C'est obligatoire ! Il ne faut pas faire semblant !

En mettant trop d'affect avec les sportifs, n'avez-vous pas peur de tomber dans une forme de connivence ?
Bien sûr qu'il y a de la connivence ! Je l'assume ! Si vous n'êtes pas ami avec un certain nombre de personnes, vous ne pouvez pas avoir d'interviews exceptionnelles. Vous ne pouvez pas avoir de scoops. C'est impossible ! Moi, je viens de faire cinq podcasts. Le plus émouvant, c'est Michel Denisot. C'est mon ami. C'est mon frère ! J'ai débuté avec lui. Il m'a fait un podcast avec un succès phénoménal. Dans son podcast dédié, Laurent Blanc m'a raconté "98" à sa manière. C'était deux potes qui se racontaient une histoire. Vous ne pouvez obtenir ces interviews que si vous avez des rapports privilégiés. Je prépare les invités pour les prochaines semaines. Il y a 99% des personnes qui vont venir à l'affect ! Parce qu'ils m'aiment et veulent que je réussisse.

Mais il y a un risque de perdre son objectivité.
Si je perds mon objectivité, il est où le problème ? Même si je la perds, il y aura toujours quelqu'un qui posera la bonne question. Vous croyez que j'ai été objectif pendant 55 ans ? Vous croyez que je n'ai pas défendu l'indéfendable ? J'assume ! Je vous le dis ! J'assume tout ! Quand on me dit qu'il faut prendre de la distance et ne pas être trop copain, c'est des conneries tout ça ! Des conneries ! On est obligé d'avoir un rapport privilégié avec les gens qu'on aime bien si on veut avoir une bonne interview. Sinon l'homme ou la femme n'a pas plus confiance après. C'est comme ça. Aujourd'hui, les jeunes ont décidé d'aller dans une autre direction. C'est "une" direction. Mais moi je ne changerai jamais.
Comme j'en voudrai à vie à Iannetta que j'ai fait venir ! Je l'ai fait venir ! A la demande de Vincent Giret ! Il faut être clair dans l'affaire. C'est normal que je sois un petit peu revendicatif ! Sauf qu'en me virant - entre guillemets -, ils m'ont permis de réaliser mes rêves. Donc, je les remercie. Mais je ne leur adresserai plus jamais la parole.

Ils ont dit
"Rejoindre 'L'heure des pros' ? Pourquoi pas !"
Jacques Vendroux

Aujourd'hui, il y a des passerelles entre Europe 1 et CNews. Avez-vous des projets d'émission télé sur la chaîne info ?
Il y aura forcément des rendez-vous. J'ai parlé avec Serge Nedjar. Rien n'est encore établi. Mais on parle. Serge Nedjar est quelqu'un de très bien. Il connaît bien la télévision et la radio. Je m'entends bien avec lui. Cette dernière saison 2022/2023 sera capitale pour tout le monde, pour la télévision, pour la radio...

Vous n'avez jamais caché votre amitié avec Pascal Praud. Pourriez-vous accepter de devenir un pensionnaire dans "L'heure des pros" sur CNews ?
Pourquoi pas ! Rien n'est à exclure !

A 74 ans, avez-vous déjà réfléchi à votre retraite ?
Pour le moment, non.

Vous êtes le Michel Drucker du sport.
Drucker, il fête ses 60 ans de carrière ! Ses 50 ans de mariage ! Vous vous rendez compte ? C'est magique ! Je l'ai eu récemment au téléphone. On a déconné. On est frères. On a débuté ensemble. J'ai été formé par les plus grands : Michel Drucker, Roger Couderc, François Janin, Thierry Roland. Je leur dois tout.

Jacques Vendroux
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