Julien Courbet ("Ca peut vous arriver" sur RTL) : "Un tel succès en radio ne peut que marcher à la télévision"

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Julien Courbet ("Ca peut vous arriver" sur RTL) : "Un tel succès en radio ne peut que marcher à la télévision"
Par Christophe Gazzano Journaliste
D’un naturel curieux et passionné de télé, Christophe Gazzano a toujours nourri le désir de devenir journaliste. Après ses études et une dizaine d’années passées dans la presse régionale, ce natif de Salon-de-Provence est “monté à la capitale” pour intégrer Pure Médias en 2017.
Julien Courbet occupe le micro de RTL depuis plus de 20 ans
Julien Courbet occupe le micro de RTL depuis plus de 20 ans © DR
L'animateur revient pour puremedias.com sur l'évolution de son émission, qu'il souhaite voir adaptée sur le petit écran.

Une aventure qui dure depuis près de 20 ans. Chaque matin, entre 9h30 et 11h sur RTL, Julien Courbet anime l'émission "Ca peut vous arriver", qui aide les auditeurs victimes d'arnaques ou de problèmes de consommation. Côté audiences, le succès ne se dément pas puisque le programme est systématiquement leader sur sa tranche horaire, vague après vague. puremedias.com l'a interrogé sur ce qui fait le succès de son émission radio et sur son avenir.

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Propos recueillis par Christophe Gazzano

Comment l'aventure "Ca peut vous arriver" a-t-elle débuté il y a près de 20 ans ?
Je suis à ce moment-là sur RTL depuis deux ans à peu près et je fais des jeux car la tradition de RTL était d'avoir tous les matins énormément de jeux. Ca commençait par "La Malice" avec Nagui à 8h30, derrière il y avait Fabrice et moi, avec un troisième jeu. La nouvelle direction demande à Philippe Bouvard de quitter "Les Grosses Têtes" et là, c'est le cataclysme. Non seulement la tranche de Philippe Bouvard est désertée, mais on en pâtit tous. Les auditeurs décident de quitter toutes les émissions. Il y a une espèce d'hémorragie. La direction est changée. Robin Leproux arrive, il rappelle immédiatement Philippe Bouvard et en profite pour redonner un second souffle à la station. Pour cela, il prend rendez-vous avec tous les animateurs. Je lui dit que je trouve qu'il y a trop de jeux le matin. Je lui propose d'adapter "Sans aucun doute", il me répond "ok, c'est une bonne idée, tu démarres lundi". On était mardi !

Comment s'organise-t-on en si peu de temps ?
J'ai dû constituer en urgence une équipe. J'ai proposé l'aventure à Nathalie Felloneau, qui est dans mon entourage proche et elle a accepté même si elle n'avait jamais fait de radio. J'ai ensuite appelé Bernard Sabbah et Hervé Pouchol, que je connais depuis 30 ans. Lorsqu'on a démarré le lundi, beaucoup de gens étaient dubitatifs et ce qui m'a rassuré, c'est qu'au bout d'une heure d'émission, Philippe Labro (ex-directeur des programmes de RTL, ndlr) est venu dans le studio en me disant : "Je crois que vous tenez quelque chose". Voilà comment tout a commencé. Ensuite, l'émission a énormément évolué pour se recentrer sur les problèmes du quotidien. On a aussi mis en place des duplex et ce rôle de négociateur qui n'existait pas au début. Aujourd'hui, on arrive à régler 90% des cas et sur les 10% restants, il y a ceux où il y a une petite avancée et ceux qui ne se règlent pas du tout.

Ils ont dit
"La radio est faite pour être en direct"
Julien Courbet

En 20 ans, avez-vous été capable d'assurer toutes les émissions ou avez-vous déjà été remplacé ?
Je n'ai jamais manqué une seule émission. Il m'est même arrivé de venir alors que j'étais coincé du dos ou après être tombé de scooter ! Aujourd'hui, avec les nouvelles technologies, ça arrivera encore moins puisque malgré toutes mes activités, j'ai la possibilité de faire mes émissions de n'importe où. Il y a quelque temps, pour un "Capital", je suis descendu à Clermont-Ferrand. De 9h30 à 11h, j'étais dans ma chambre d'hôtel pour faire l'émission. Et contrairement à ce qu'on croit, le réalisateur (Xavier Kassovic, ndlr) peut en témoigner, ça fait partie des meilleures émissions. Comme les membres de mon équipe ne me voient pas, ils sont très concentrés. Les émissions enregistrées sont de plus en plus rares. L'année dernière, pour les besoins de "Qui veut être mon associé ?", avec 11 jours de tournage, j'avais énormément enregistré en amont. Mais si l'émission revient, je ferai "Ca peut vous arriver" en direct depuis là-bas.

Vous tenez à cette notion de direct ?
Oui. La radio est faite pour être en direct. La télé aussi, d'ailleurs, mais il y a des émissions où vous ne pouvez pas le faire.

Parmi tous les cas traités à l'antenne, lesquels vous ont marqué ?
Chacun a sa spécificité. Il y a les cas où je me fais insulter, donc ça nous fait toujours marrer parce que le type me dit des horreurs pendant dix minutes. Mais il y a eu une très belle histoire avec un couple qu'on a fait revenir sur l'antenne cinq ou six fois. C'était un petit artisan qui travaillait avec sa femme et il se trouve que les artisans sont très mal protégés au moment de leur retraite. L'argent qu'ils gagnaient, tous deux le mettaient de côté en assurance-vie pour avoir un petit pécule. Leur agent d'assurance, qui était devenu un ami, est venu boire un coup chez eux et les a convaincu de placer leur argent. Il a pris leurs sous et il les a volés d'environ 300.000 euros. L'homme a fait un infarctus en apprenant ça et tous deux ont été obligés d'aller aux Restos du coeur pour continuer à vivre. Ca a été la vraie descente aux enfers. On a appelé pour les aider. Ca a duré six mois et au bout d'un moment, on a eu le chèque. Et quand l'artisan a eu le chèque, je trouve ça extraordinaire : la première chose qu'il a faite, c'est d'acheter une camionnette d'occasion, qu'il a repeinte aux couleurs des Restos du coeur et, maintenant qu'il est à la retraite, il va tous les jours faire la collecte des fruits et des légumes qu'il amène aux Restos du coeur en se rappelant qu'il est passé par là lui aussi.

Ils ont dit
"Il y a un lien très fort entre l'émission et les auditeurs"
Julien Courbet

Avez-vous gardé des liens privilégiés avec les auditeurs au fil du temps ?
Pas forcément. Mais à la fin de mes spectacles, j'ai toujours quelqu'un qui vient me voir pour me dire : "Vous ne me connaissez pas, je suis Marcel Dupont !" (rires) et qui me raconte comment je l'ai aidé sur RTL. A côté de ça, on reçoit des cartes postales chaque année ou des photos de bébés dont on a aidé les parents... Il y a un lien très fort entre l'émission et les auditeurs. Je crois qu'ils nous sont vraiment gré de mettre toute notre énergie pour les aider. Je sais qu'ils le ressentent profondément.

Avez-vous vous-même été déjà arnaqué ?
Bien sûr ! Même s'il faut avouer que cela m'arrive moins... A l'époque de "Sans aucun doute", l'émission était en direct à 23h. Les répétitions se faisaient vers 18h et ma femme était enceinte de 8 mois. Avant de partir, elle me montre une fuite sous l'évier. Je lui dit d'appeler un "SOS Dépannage" et j'attends avec elle pour que le type me voit et qu'on ne se fasse pas arnaquer. Il arrive, il me reconnaît, il appelle sa femme pour dire qu'il est avec Julien Courbet et me la passe... Je m'en vais. Au bout de deux kilomètres en voiture, ma femme m'appelle pour me dire : "Il y a juste un petit problème, c'est un joint à changer et il veut 3.000 euros". J'ai donc fait demi-tour pour m'expliquer avec lui et ça s'est soldé par une intervention à 500 euros. Pourtant, au départ, le type ne s'était pas démonté et m'avait dit : "Ce n'est pas parce que vous êtes Julien Courbet que les prix changent !". Je lui ai donc répondu que je trouvais intéressant de faire un reportage sur son intervention avec mes équipes, ce qui l'a aussitôt fait changer d'avis.

Ils ont dit
"La technique de l'escroc consiste à m'insulter"
Julien Courbet

Vous avez été menacé à plusieurs reprises à l'antenne par des personnes furieuses de se retrouver exposées...
Une fois, je me suis retrouvé en scooter à côté d'un marchand de meubles que j'avais appelé sur l'antenne et qui m'a reconnu. Il m'a fait un signe d'égorgement avec le doigt et un sourire en coin. Mis à part ça, je n'ai jamais été menacé physiquement. Dans l'émission, on a menacé de m'attaquer en diffamation, c'est arrivé cinq ou six fois et on a gagné autant de fois. Quand le cas arrive à l'antenne, il est verrouillé. Je ne mens pas et je précise aux personnes qu'elle sont en direct sur RTL. La technique de l'escroc consiste à m'insulter en disant que je suis là pour faire de l'audimat, je les laisse parler et je leur donne raison. Quand je leur reparle du problème pour lequel on les contacte, il y a souvent un grand blanc et ils repartent sur de nouvelles attaques avant de raccrocher. Ca donne tout de suite la psychologie de celui qui est en face. Ce sont des moments bénis pour nous. Ne l'oublions pas : nous sommes là pour aider les gens mais c'est avant tout une émission de radio donc il faut quand même qu'il y ait une notion de divertissement et de spectacle.

Vous sensibilisez régulièrement les auditeurs à la cause animale. Quel a été le déclic ?
Le déclic, c'est que j'ai toujours aimé les animaux et que RTL a la gentillesse de m'accorder une minute par semaine pour en parler. Cela fait aussi partie du job quand on est connu, d'en profiter pour faire passer des messages. J'ai toujours adoré les animaux, j'ai été chercher mon chien dans un refuge et, quand je suis devenu le parrain de ce refuge, je me suis aperçu des horreurs qu'on pouvait voir au quotidien avec par exemple des gens qui abandonnent leur chien en les balançant par-dessus le mur de la SPA sans même prendre la peine de sonner... C'est devenu insupportable pour moi.

En 20 ans, vous avez également connu l'apparition des réseaux sociaux. Cela a-t-il changé votre manière de construire l'émission ?
Pour l'instant, ça ne nous a pas tellement servi dans le lien avec l'auditeur de RTL, qui est assez conservateur. Mais les mentalités commencent à changer puisqu'on reçoit de moins en moins de courriers et de plus en plus de messages sur Facebook. C'est plutôt pas mal pour la planète parce que quand les auditeurs nous envoient des courriers, ils nous font parvenir des dossiers entiers. On a même eu à un moment donné un problème de stockage. De notre côté, quand nous ne parvenons pas à joindre une entreprise, nous prenons contact avec elle sur Twitter. Et petit à petit, des auditeurs nous envoient des infos par ce biais également.

Qu'est-ce-qui vous énerve le plus dans les cas traités ?
Le pot de terre contre le pot de fer. Se tromper, oui, mais ce qui est inadmissible, c'est quand vous avez un mastodonte face à un tout petit, qui lui dit : "Attaquez-nous"... Et là, RTL, tout d'un coup, remet les gens au même niveau.

Au fond, n'auriez-vous pas aimé être journaliste ?
Je n'ai jamais voulu l'être parce qu'il est hors de question de me priver de ce que je fais à côté, c'est-à-dire des spectacles, des divertissements... Je fais mon travail journalistiquement mais après c'est un autre débat : ce n'est pas parce que j'aurais une carte de presse dans mon portefeuille que je traiterais le cas différemment. Cela ne m'apporterait donc rien de plus, à part peut-être un abattement sur les impôts. Je veux pouvoir être libre par rapport à ça.

Ils ont dit
"Mon job, c'est de rester dans l'air du temps"
Julien Courbet

A quel horizon vous projetez-vous avec "Ca peut vous arriver" ?
La retraite et même plus que la retraite (rires) ! J'ai encore un an de contrat mais je ne me vois pas du tout arrêter. Et puis je ne m'en suis jamais caché, s'il fallait faire un choix un jour entre la télé et la radio, ce serait la radio. La radio, c'est ma vie. Quand je suis là, j'ai l'impression d'être un chef d'orchestre avec des musiciens, je suis en transe. Donc ça s'arrêtera quand on me mettra dehors ou quand je ne m'en sentirai plus capable. Mais quand je vois les réserves d'énergie que j'ai, je me dis qu'il y a encore six ou sept belles années à venir. Tous les matins, je réalise la chance que j'ai de faire ce que j'aime. Ce qui m'intéresse dans ce rôle à la radio, c'est que je suis dans la spontanéité totale. Ce n'est que de l'impro. J'improvise une parodie, puis je redeviens sérieux, puis je fais rire, puis je fais une imitation... RTL me laisse faire tout l'habillage, c'est une chance inouïe. Et ce qui est formidable avec cette émission, c'est que de nouvelles générations d'auditeurs arrivent. Et à côté de ça, la technologie fait que j'ai aussi de nouvelles sources d'inspiration. Quand j'ai démarré, internet n'existait pas ! Aujourd'hui, je traite de problèmes de sites qui ne livrent pas leurs clients. Et qui sait, dans l'avenir, peut-être qu'on parlera de problèmes de livraisons par drones. Donc c'est un éternel recommencement. Mon job, c'est de rester dans l'air du temps.

Ils ont dit
"J'ai refusé de fêter les 20 ans de 'Ca peut vous arriver' à la télévision"
Julien Courbet

Le serpent de mer, c'est la fameuse adaptation de "Ca peut vous arriver" à la télévision. Où en est le projet ?
Il n'y a pas de projet. On m'a simplement proposé de faire les 20 ans de "Ca peut vous arriver" à la télévision et j'ai dit non parce qu'il fallait que ce soit tout en images et que j'aille sur le terrain, etc. Je pense que cette émission peut avoir une vie extraordinaire à la télé. Je suis prêt à rembourser le diffuseur si elle ne marche pas. Je ne la ferai qu'à une condition : en direct, l'après-midi. Vous me donnez une heure pour le faire, on fait un malheur absolu. Je le sais, c'est écrit. On me propose parfois de le refaire, mais en enregistré et sur le terrain. Ce n'est pas ça, l'émission. L'émission, ce sont des appels, une sorte de polar qui s'écrit en direct. J'espère que Nicolas de Tavernost (le patron de M6, ndlr) lira cette interview, il les lit toutes.

Avez-vous senti M6 réceptive à cette envie ?
Pas particulièrement, mais c'est surtout que nous n'en avons pas beaucoup parlé, pour une bonne et simple raison, c'est que M6 a des priorités. La première, c'est celle du samedi après-midi. Ils sont en pleine réflexion là-dessus. Et pour l'instant, les access de la chaîne sont bouclés. Après viendra de toute façon un problème budgétaire parce que qui dit en direct dit on n'en fait pas six par jour.

Vous gardez quand même espoir ?
Je suis fait pour ça. Je le fais depuis 20 ans et ça marche. Je ne suis pas fait pour animer des variétés, je ne suis pas sûr d'être légitime là-dedans mais ça, je suis le seul à pouvoir le faire, à l'image de Stéphane Plaza dans l'immobilier. C'est sûr que ça marcherait, en début ou en milieu d'après-midi, en direct, face à "Affaire conclue".

Ils ont dit
"On s'est plantés sur C8"
Julien Courbet

Diriez-vous que c'est le direct qui a manqué aux déclinaisons de "Sans aucun doute" sur TMC et sur C8 ?
Sur C8, ça n'a pas marché parce qu'on a voulu peopoliser l'émission en résolvant des problèmes tout en faisant la promotion des invités. On s'est plantés et je l'assume complètement. Je pensais que ça allait donner un côté prime, donc grave erreur. Pour TMC, c'est complètement différent. On démarre à 200.000 téléspectateurs la première émission ("Courbet Sans Aucun Doute" en 2013, ndlr). Ils sont catastrophés. Je leur dis : "Laissez-moi, ça va prendre". Je rends les clés le 20 décembre à 785.000. On commence à se rapprocher de C8. Mais sur la TNT, sur ces petites chaînes qui ne sont pas identifiées et qui l'étaient encore moins à l'époque, quand il y a un truc qui fonctionne, il ne faut surtout pas l'arrêter. Et là, un mois de coupure ! Ils me répondent qu'ils ont des catalogues de quotas d'oeuvres à placer.
Quand on est revenus, on est repartis à zéro, les beaux jours sont arrivés et là, c'était plié. Si on avait continué, on serait peut-être au million aujourd'hui. J'en ai reparlé avec le patron de l'époque, Jean-François Lancelier, et il a reconnu qu'ils avaient fait une bêtise. D'ailleurs, pourquoi Jean-Luc Reichmann est-il toujours aussi haut sur TF1 ? Parce qu'il ne s'arrête jamais. Il ne donne pas une seule fois l'occasion à ses téléspectateurs d'aller voir Nagui. Amusez-vous à couper Reichmann deux mois l'été et vous verrez le résultat à la rentrée suivante... En télé, on ne s'arrête pas. C'est la règle d'or. Néanmoins, si "Sans aucun doute" avait été en direct sur TMC, l'émission aurait été encore plus performante.

L'aventure "Sans aucun doute" sur TMC reste un regret pour vous ?
Oui. Mon principal regret aujourd'hui, c'est de me dire qu'on a de l'or entre les mains avec cette émission et ce format et que quelqu'un ne me dise pas : "Viens le faire en direct pendant une heure". Si on a un tel succès en radio, ça ne peut que marcher à la télévision.

Et si une autre chaîne que M6 vous disait banco ?
Déjà, il faudrait que j'attende la fin de mon contrat, donc ça ne sera pas pour cette année. Mais, honnêtement, si un jour on me dit "Je te donne une heure l'après-midi en direct", j'y réfléchirais. Vraiment.

Julien Courbet
Julien Courbet
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