Nagui : "Je prie pour vivre le jour où la production représentera 100% de mon temps"

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Nagui : "Je prie pour vivre le jour où la production représentera 100% de mon temps"
Par Ludovic Galtier Lloret Journaliste
Né en Isère entre le tirage de la première boule noire de l'histoire de "Motus" - "Oh-ohohohoh" - et la première visite de candidats à "Fort Boyard", Ludovic Galtier est journaliste à Puremédias depuis octobre 2021. Il est passionné par la politique, l'économie des médias et leur stratégie de programmation.
Bande-annonce "Les Disparus De La Forêt Noire" (TF1) © Christophe LARTIGE
Producteur depuis près de trente ans, Nagui revient pour puremedias.com sur la génèse des fictions qu'il signe en 2023, "Les disparus de la forêt-noire" pour TF1 et la saison 2 de "L'école de la vie" pour France 2, et s'exprime sur la concentration des boîtes de production et le manque d'animateurs à la télévision.

Après l'animateur, le producteur. Depuis près de trente ans, Nagui, via sa société de production Air Productions avalée par le géant du secteur, Banijay, alimente les grilles du paysage audiovisuel de ses émissions. Il a élargi son spectre en se lançant dans la fiction. Le jeudi 5 janvier, en prime time, TF1 diffusera "Les disparus de la forêt-noire", une co-production entre la France, la Belgique et l'Allemagne, dont il est partie prenante. Dans ce dernier volet de notre entretien avec Nagui, puremedias.com a souhaité en savoir davantage sur cette nouvelle casquette de producteur de fictions.

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Propos recueillis par Ludovic Galtier.

puremedias.com : TF1 a annoncé mardi qu'elle diffuserait à partir du jeudi 5 janvier, en prime time, la série "Les disparus de la forêt-noire", dont vous signez la co-production. Comment ce projet est-il né ?
Nagui : "L'école de la vie", que nous co-produisons avec Banijay pour France 2 (dont la saison 1 a été diffusée en 2021, ndlr), et "Les disparus de la forêt noire" pour TF1 sont des projets qui ont pratiquement débuté en parallèle. Cette co-production était un pari d'autant plus intéressant que j'appréhendais, à l'époque, d'être jugé ou de ne pas être crédible en tant que producteur de fiction. Dans le même temps, j'avais le sentiment d'avoir des choses à apporter, que ce soit dans les histoires à raconter, le choix d'un casting ou d'un réalisateur, dans la manière de fabriquer un produit, même si le mot n'est pas beau. Tout ça est un travail qui ne ressemble en rien à ce que je fais dans le divertissement.

On entend beaucoup de critiques s'élever contre la télévision qui regorge d'enquêtes policières. En quoi "Les disparus de la forêt-noire" se différencie-t-elle d'autres programmes du genre ?
Le propre et la force d'un thriller comme "Les disparus de la forêt-noire", c'est qu'en plus d'être une enquête policière, elle intègre les notions de frissons, inquiétude et suspense. Ces notions sont construites autour de valeurs notamment de reconstruction pour ce qui est du personnage principal campé par Hélène de Fougerolles. On touche aussi au rapport hommes/femmes entre l'héroïne et les enquêteurs de police (incarnés par Grégory Fitoussi et Tchéky Karyo, ndlr), tous deux symboles du mâle alpha qui ont raison sur tout et ne veulent pas se laisser embarquer par une femme "hystérique". Au-delà de tous ces clichés, il va falloir qu'ils s'entendent, qu'ils communiquent et qu'ils aillent chercher la vérité. Cet équilibre entre féminité et virilité n'empêche pas des cascades, des armes et des bagarres.

Ils ont dit
"TF1 a été la première chaîne à réagir et à accepter 'Les disparus de la forêt-noire'"
Nagui

Quelle a été la patte de Nagui ?
Il y a beaucoup de silence. J'adore comprendre ce qui se passe dans la tête d'un acteur ou d'une actrice sans qu'il ait besoin de le dire. Comme j'adore me poser la question de savoir ce qu'il est en train de se dire sans savoir ce qu'il est en train de se dire. Moi aussi, je dois essayer de décortiquer les choses et je ne suis pas simplement passif devant un spectacle. Il y a des moments où l'on a un tour d'avance par rapport aux acteurs et aux personnages de la série mais il y a des moments où l'on est au même niveau qu'eux. Après, il y a peut-être une morale mais la toile de fond est la motivation de tous ces crimes et la manière dont ils vont être élucidés. Cette fiction repose aussi sur les questions que l'on peut se poser sur la Justice, sur la loi du Talion, sur l'équilibre entre un crime et sa sentence, et la prescription.

Quelle a été votre implication personnelle dans le projet ?
Malheureusement, je n'ai pas été assez présent par rapport à ce que j'aurais aimé. J'ai en tout cas été présent sur l'écriture, le casting, le tournage, la composition de la musique, au montage et au mixage. C'est plus un plaisir qu'un devoir que d'aller à ces différents rendez-vous.

C'est un projet pour TF1. L'avez-vous proposé en primeur à France Télévisions ?
Ce projet, qui a mis six ans à voir le jour, a été proposé à plusieurs chaînes. TF1 a été la première à réagir en l'acceptant. Il est donc normal que le premier qui accepte le fasse (la dernière collaboration de Nagui, producteur, avec TF1 remonte au documentaire "Didier face à Deschamps" diffusé le vendredi 11 octobre 2019, ndlr).

Ils ont dit
"J'ai un appétit sans faim pour dévorer les projets de scénaristes"
Nagui

"Les disparus de la forêt-noire" a la particularité d'être une co-production entre des productions française, allemande et belge... Est-ce pour des raisons budgétaires ?
Non, je dirais que c'était l'idée des auteurs. La situation est frontalière entre la France, la Belgique et l'Allemagne (le tournage s'est déroulé dans la région de Strasbourg, ndlr). On est dans une zone avec des lois et des polices différentes. Comme l'histoire le nécessitait, on s'est dit pourquoi ne pas le faire avec d'autres pays. Après, chacun y trouve son intérêt parce que très sincèrement, ce n'est pas parce que deux ou trois pays co-produisent une fiction que vous avez deux fois plus de budget. Au contraire, ce sont les chaînes qui dépensent deux fois moins.

J'imagine qu'en tant que producteur de fictions, vous devez recevoir des dizaines, voire des centaines de scénarios...
Mais pas tant que ça ! Je reçois plus des projets pour faire des jeux télé. La consigne sur les jeux est de renvoyer tous les projets. On n'en lit aucun. Le problème est que dès l'instant où quelqu'un vous envoie un projet en disant "Bah voilà, j'ai l'idée d'un jeu, il y a de la musique, il y a des chansons, il y a des gens qui jouent autour des chansons" et qu'après vous lancez un format qui s'appelle "N'oubliez pas les paroles !", la personne peut vous dire "Non mais je vous l'avais écrit. Mec, tu déconnes ou quoi ?". Il y a toujours une revendication autour d'une idée parce que malheureusement les idées n'appartiennent à personne. Et je dis ça en ayant vu certaines de mes idées utilisées par d'autres. C'est la règle du jeu !

Je reviens à la fiction. Aimeriez-vous recevoir davantage de scénarios ?
Comme je suis en quête d'idées autour de l'humour, si chez vos lecteurs et internautes, il y a des scénaristes qui ont envie de faire de l'humour à la télé, j'ai un appétit sans faim pour dévorer leurs projets. D'autant qu'il est plus facile de déposer un projet de scénario à la SACD (Société des auteurs et compositeurs dramatiques, ndlr) qu'une idée d'ambiance.

Ils ont dit
"Vincent Desagnat, Patrick Chesnais et François Vincentelli seront des guests de la saison 2 de 'L'école de la vie'"
Nagui

Vous l'évoquiez en début d'entretien. "L'école de la vie", que vous produisez, revient pour une saison 2 en 2023, deux ans après la première. Julie de Bona succèdera à Guillaume Labbé dans le rôle-titre. Est-ce vous qui l'avez choisie ou a-t-elle postulé pour le poste ?
On s'en est parlé lors de sa venue sur France Inter pour faire la promotion du "Bazar de la charité". Elle m'a parlé de "L'école de la vie" en me disant qu'elle avait appris que je co-produisais cette série. J'avais évoqué avec elle les pistes vers lesquelles on allait pour la saison 2. C'est-à-dire une prof de français qui donne des cours de théâtre. Elle m'a fait comprendre que ça pourrait l'intéresser de lire le scénario. Je pense que les actrices aiment qu'on leur fasse la cour et qu'on les séduise. Donc, j'assume totalement d'être celui qui a fait le premier pas. Mais on va dire un peu comme dans un plan drague, j'ai senti qu'il y avait une ouverture.

Est-ce à dire que l'acteur principal changera chaque saison ?
Oui ! "L'école de la vie" est l'adaptation d'une sitcom quotidienne ("30 vies", diffusé entre 2011 et 2016 au Canada, ndlr). Les fondamentaux de la série ? C'est d'être à l'école avec un professeur confronté à une problématique dans sa vie personnelle et à plusieurs problématiques, qui changent à chaque épisode, dans sa vie professionnelle. Il y a même des sous-intrigues avec les professeurs autour de Julie de Bona. Pour résumer, les seconds rôles de professeurs sont les rôles récurrents (Florence Pernel, Nicolas Briançon, Mélanie Page, Bruno Sanches), le rôle-titre change à chaque saison et les élèves, eux, changent de classe et passent à un autre niveau de saison en saison. Enfin, l'autre élément-clef que l'on aime bien, c'est d'avoir des guests qui viennent faire de petites apparitions.

Pouvez-vous nous révéler l'identité de certains de ces guests en saison 2 ?
Je peux vous révéler par exemple les participations de Vincent Desagnat, Patrick Chesnais et François Vincentelli.

Vous avez proposé des projets aux chaînes de télévision, vous l'avez dit. Est-ce que vous êtes en relation également avec les plateformes de SVOD ?
Le rôle d'un producteur est de créer des programmes et de les proposer à des diffuseurs. Après, que le diffuseur soit une chaîne hertzienne, une chaîne satellite ou autre, l'important est de trouver le robinet par lequel l'eau que l'on produit va passer.

Des projets entre votre boîte de production et des plateformes pourraient-ils aboutir prochainement ?
Il y a énormément de propositions. Globalement, on est plus dans les genres documentaire et fiction que dans le jeu.

Ils ont dit
"Plus vous êtes différent des autres, plus vous existez au sein de Banijay"
Nagui

Plus généralement, comment une boîte de production comme la vôtre parvient à se distinguer au sein du géant Banijay, auquel elle appartient ?
La force de Stéphane Courbit (PDG de Banijay, ndlr) est d'avoir pris le problème dans l'autre sens. Plutôt que d'avoir un groupe avec plein de filiales, il a réuni des sociétés qui ont une identité afin qu'elles forment un catalogue et qu'elles mutualisent des idées, des moyens, des structures, des services juridiques, la comptabilité, des investissements et ainsi de suite. A partir de là, quand "N'oubliez pas les paroles !" voit le jour en Italie, en Espagne, revient aux Etats-Unis, c'est toujours une filiale de Banijay qui va la fabriquer avec son savoir-faire, ses rapports locaux avec son réseau sur le terrain. Nous, nous ne faisons qu'apporter un cadre s'ils en ont besoin. A l'inverse, toutes les heures, on reçoit un mail de présentation de pilotes d'émissions produites par des sociétés du groupe à l'international avant même qu'elles ne soient diffusées et qu'elles existent. Si quelque chose nous saute aux yeux et correspond à un besoin ou à une demande d'une chaîne française, on est les premiers au courant et on les propose. C'est extrêmement confortable et plus vous êtes différent des autres, plus vous existez au sein de Banijay.

On parle beaucoup dans l'actualité de la concentration des médias et de ses dangers. À vous écouter, la concentration des boîtes de production, elle, n'est pas un frein à la diversité des créations ?
La vision de Stéphane Courbit est de dire "Continuez de créer, continuer de faire ce que vous voulez en totale liberté. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, demandez-nous, servez-vous dans le catalogue et faites vivre les idées". Les émissions de Jacques Antoine, par exemple, sont dans le catalogue de Banijay. Mais on peut aussi créer ex nihilo. "Le club des invincibles" et "Chacun son tour" sortent de nulle part. Nous sommes partis d'une page blanche. Pour "Chacun son tour", j'ai travaillé et créé le jeu en demandant à Endemol France de le produire parce que cela me paraissait plus sain que tout ne soit pas fait dans une espèce de consanguinité un peu bizarre. Et je trouve cela bien qu'une idée que vous avez soit éduquée par d'autres, comme c'est bien qu'un enfant sorte de la maison et ait des profs. Ca lui permet de s'épanouir.

Ils ont dit
"A un moment, cela va se voir que l'on manque d'animateurs"
Nagui

Quelle part représente la production dans votre emploi du temps ?
Je ne me rends pas compte mais elle commence à être plus importante que l'animation.

Est-ce aussi exaltant que la présentation ?
Je prie pour vivre le jour où la production représentera 100% de mon temps. Je ne peux pas être plus clair ! C'est-à-dire que manger du micro et de la caméra est toujours un plaisir. Tant que ce sera un plaisir, je continuerai mais je ne le ferai jamais contraint et forcé. C'est la raison pour laquelle, par exemple à France Inter, chaque année on se pose la question de savoir si l'on fait une année supplémentaire. J'ai encore envie de cette excitation, me dire que cela peut s'arrêter du jour au lendemain. Après avoir couru après des contrats pluriannuels toute ma vie, c'est aujourd'hui l'inverse. C'est moi qui préfère le faire saison par saison.

Qui prendra la relève à l'animation, selon vous ? On a l'impression qu'il n'y a plus d'animateurs qui émergent aujourd'hui dans le PAF. Beaucoup d'émissions, sans leur faire offense, sont confiées à d'anciennes Miss...
Pourquoi ? La vraie question, c'est pourquoi ? Je n'ai pas la réponse. Mais je peux vous dire qu'à chaque fois que l'on se pose la question d'une nouvelle émission et que l'on se demande qui pourrait l'incarner, on est rapidement confronté à une "short list" plutôt qu'à une grande liste malheureusement. Et on ne peut même plus s'imaginer dans des situations où l'on fait des castings et des essais pour les trouver.

Il n'y a plus de temps pour cela ?
Ce n'est pas une question de temps. Je pense que l'incarnation est un vrai souci et qu'à un moment, cela va se voir que l'on manque d'animateurs, femmes comme hommes. On en manque déjà aujourd'hui. Ce que je peux faire, c'est encourager les jeunes à bouffer de l'antenne et à se battre pour en faire. L'école de la radio est certainement la meilleure des écoles. Il ne faut pas oublier que le mot audiovisuel commence par audio. Dans les premières émissions que l'on fabriquait ensemble avec Gérard Pullicino (réalisateur reconnu du petit écran, ndlr), je l'ai vu dans la salle de montage dos aux écrans. En fait, il montait d'abord le son et à chaque fois, il m'expliquait que l'on ferait l'image après. Mais d'abord, on monte le son. Et ça, c'est une leçon !

Une leçon que vous appliquez vous-même aujourd'hui ?
Oui, c'est une leçon que j'ai gardée et que nous offrons gratuitement à la planète puremedias.com (sourire). C'est une leçon que j'applique à "N'oubliez pas les paroles !", car c'est une émission qui s'écoute. On peut tout comprendre en l'écoutant. Même quand il y a des silences, on comprend qu'il se passe quelque chose. C'est pour cela qu'il y a des nappes musicales, qu'il y a des jingles. La bande son est très importante. C'est pour cela aussi que j'ai voulu que l'émission sur France Inter s'appelle "La bande originale". C'est pareil dans la fiction : le fait d'avoir la guitare de Louis Bertignac qui vienne lécher la musique des "Disparus de la forêt-noire", aide à rentrer dans un univers et à se mettre en condition.

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