Netflix : 24 heures après sa sortie, la fin tant attendue de cette série phénomène détrône déjà "Ransom Canyon" au sommet du top mondial

Un carton assuré. Netflix a mis en ligne, ce jeudi 24 avril 2025, la saison 5 et la dernière de "You" (Warner Bros.), sa série phénomène avec Penn Badgley ("Gossip girl"), qui joue depuis 2018 le rôle de ce psychopathe aux airs de gendre idéal. À peine disponible sur la plateforme, les ultimes péripéties de Joe Goldberg ont attisé la curiosité des abonnés et fans de la première heure, qui se sont rués sur la salve d'épisodes inédits. Résultat, en 24 heures, la saison 5 de "You" s'est classée à la première place des contenus Netflix les plus vus dans le monde.

Selon les données de Flixpatrol, le final de la fiction est à la première place du top dans pas moins de 56 pays, dont la France, le Canada, l'Allemagne, les États-Unis ou encore l'Inde. Il détrône ainsi la saga western romantique "Ransom Canyon", numéro 1 depuis plusieurs jours. Un succès qui ne surprend personne quand on sait la saison précédente avait enregistré 92 millions d'heures de visionnage en quatre jours, lors de la diffusion des premiers épisodes. Pour rappel, la saison 3 de "You" avait été l'un des succès de Netflix à l'automne 2021. Avec 57,6 millions d'équivalents de visionnages complets en 28 jours à travers le monde, elle a réussi à supplanter dans le même laps de temps les scores de la saison 2.

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Dans cette dernière saison, Joe Goldberg fait son retour à New York après une parenthèse londonienne en saison 4, et coule des jours heureux avec sa nouvelle compagne qui l'a rendu riche et célèbre. Mais son bonheur est menacé par les fantômes de son passé et ses propres désirs obscurs. Paiera-t-il pour tous les crimes qu'il a commis ? Penn Badgley le souhaitait en 2023 lorsqu'il évoquait la fin de la série : "Je crois que Joe a besoin d'être puni, et maintenant qu'il a le pouvoir et la richesse, il a davantage à perdre. Mais pour moi, avec ce concept et ce personnage, nous avons toujours voulu nous montrer responsables, et ce n'est pas le genre de choses que l'on doit étirer à l'infini juste parce que les audiences sont bonnes".