Entre Emma de Caunes et les chaînes de télé française, les incompréhensions se multiplient ! La semaine dernière, la comédienne a ainsi pointé du doigt le rythme de diffusion de "Lanester", la série dont elle partageait l'affiche avec Richad Berry. "La diffusion a été chaotique, avec des épisodes programmés longtemps après le tournage", a-t-elle ainsi lancé, deux ans s'étant écoulés entre le premier épisode en 2014 et le second, en 2016, tandis que le troisième - et dernier - a été diffusé en 2018.
Pour la comédienne, le traitement réservé à la série est allé à l'encontre de qui avait été convenu au départ. "On nous avait vendu, à Richard et à moi, une série régulière avec des personnages qui allaient se développer. C'était chouette sur le papier. Mais il n'y a pas eu de suivi malgré de très bonnes audiences. Il y a un truc qui m'échappe...", a-t-elle conclu sur le sujet.
"Là aussi c'est étrange"
Cette semaine, c'est l'attitude de TF1 que la comédienne peine à comprendre. Héroïne de la co-production internationale "Ransom", diffusée en France sur la Une et aux Etats-Unis sur CBS, Emma de Caunes annonce à nos confrères de "TV Mag" que la chaîne française n'a pas souhaité poursuivre l'aventure ! "Là aussi c'est étrange. TF1 coproduit et diffuse la saison 1, qui marche pas mal, mais se retire du projet. Il n'est donc pas du tout certain, à moins que TF1 l'achète, qu'elle programme la saison 2", révèle-t-elle ainsi. Contactée par puremedias.com, TF1 confirme qu'elle n'est plus impliquée dans la production de cette série mais ne se prononce pas sur la diffusion de la deuxième saison.
Diffusés l'été dernier sur quatre semaines sur TF1, les treize épisodes de "Ransom" ont affiché un bilan d'audience timide. En moyenne la saison 1 a fédéré 3,3 millions de téléspectateurs en audience veille, selon Médiamétrie. La part de marché s'élève à 19,0% sur les individus de quatre ans et plus. A J+7, cette co-production entre le Canada, les Etats-Unis, la France et l'Allemagne a fédéré 3,6 millions de fidèles, pour 20% de part d'audience et 24% sur les femmes responsables des achats de moins de 50 ans.
