Ces deux-là ne s'aiment pas beaucoup. Hier, ils se sont retrouvés face à face chez Laurent Ruquier dans "On n'est pas couché" sur France 2.
Ces deux-là ne s'aiment pas beaucoup. Hier, ils se sont retrouvés face à face chez Laurent Ruquier dans On n'est pas couché sur France 2. Le clash était attendu, Eric Naulleau ayant déclaré récemment à propos de Nicolas Bedos qu'il « avait chopé la grosse tête ». « Le jour où il sera aussi talentueux que lui-même le pense, ça sera vraiment un mec bourré de talent. Il devrait faire attention à ne pas choper la grosse tête. Et à ne pas laisser le mal s'aggraver » avait-il lâché à Télé 2 Semaines.
Hier soir donc, sans surprise, Eric Naulleau en a remis une couche. « On balance une vanne et on se casse, c'est ce que tu fais chez Giesbert » a-t-il lancé à Nicolas Bedos qui a explosé cette année grâce à sa chronique dans Semaine Critique, l’émission de Franz-Olivier Giesbert, diffusée chaque vendredi à 23h sur France 2. Eric Naulleau lui a, par ailleurs, reproché de ne pas aimer la critique, notamment concernant ses pièces de théâtre, en rappelant une obscure histoire.
Pour sa défense, le fils de Guy Bedos a remis en cause le sérieux d'Eric Naulleau, soulignant qu'ils ne faisaient pas le même travail : « Je ne balance pas des vannes, moi. Je raconte une histoire, je travaille, j’écris mon texte. Je ne dis pas que je le fais bien mais moi, pendant trois jours, j’écris quelque chose, j’essaye de faire sourire et rire les gens pas malgré moi mais parce que je l’ai décidé. A un moment donné, je me mets derrière un bureau et j’essaye d’interpréter quelque chose, un texte que j’ai à peu près chiadé. Vous, Eric Naulleau, vous vous asseyez et vous dites "j’aime bien, j’aime pas". Je connais quarante personnes qui peuvent faire ce que vous faites. »
Nicolas Bedos avait donné le ton de l'émission bien avant qu'Eric Naulleau ne soit invité à intervenir. Le chroniqueur de Semaine Critique avait affirmé attendre son face à face avec Naulleau avec « gourmandise » avant de lui lancer : « Allez, lâche-toi mon vieux, t'as plus que cinq émissions pour t'éclater », faisant allusion à la décision de Laurent Ruquier de se séparer du chroniqueur et de son acolyte Eric Zemmour à la rentrée.
Découvrez la séquence de leur face à face :
Hier soir donc, sans surprise, Eric Naulleau en a remis une couche. « On balance une vanne et on se casse, c'est ce que tu fais chez Giesbert » a-t-il lancé à Nicolas Bedos qui a explosé cette année grâce à sa chronique dans Semaine Critique, l’émission de Franz-Olivier Giesbert, diffusée chaque vendredi à 23h sur France 2. Eric Naulleau lui a, par ailleurs, reproché de ne pas aimer la critique, notamment concernant ses pièces de théâtre, en rappelant une obscure histoire.
Pour sa défense, le fils de Guy Bedos a remis en cause le sérieux d'Eric Naulleau, soulignant qu'ils ne faisaient pas le même travail : « Je ne balance pas des vannes, moi. Je raconte une histoire, je travaille, j’écris mon texte. Je ne dis pas que je le fais bien mais moi, pendant trois jours, j’écris quelque chose, j’essaye de faire sourire et rire les gens pas malgré moi mais parce que je l’ai décidé. A un moment donné, je me mets derrière un bureau et j’essaye d’interpréter quelque chose, un texte que j’ai à peu près chiadé. Vous, Eric Naulleau, vous vous asseyez et vous dites "j’aime bien, j’aime pas". Je connais quarante personnes qui peuvent faire ce que vous faites. »
Nicolas Bedos avait donné le ton de l'émission bien avant qu'Eric Naulleau ne soit invité à intervenir. Le chroniqueur de Semaine Critique avait affirmé attendre son face à face avec Naulleau avec « gourmandise » avant de lui lancer : « Allez, lâche-toi mon vieux, t'as plus que cinq émissions pour t'éclater », faisant allusion à la décision de Laurent Ruquier de se séparer du chroniqueur et de son acolyte Eric Zemmour à la rentrée.
Découvrez la séquence de leur face à face :
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