Trois fois non. A trois reprises hier, Laurent Ruquier a assuré qu'il était "hors de question" qu'Eric Brunet rejoigne la saison prochaine "On n'est pas couché", l'émission qu'il anime sur France 2, tous les samedis soir en deuxième partie de soirée.
@LeTubeCanal pas par moi en tout cas et il en est hors de question .
— Laurent Ruquier (@ruquierofficiel) March 7, 2015
@futurswing @SRubinDieulois @khalida93400 rassurez vous , hors de question !
— Laurent Ruquier (@ruquierofficiel) March 8, 2015
Samedi, dans "Le Tube" de Canal+, le magazine médias présenté par Daphné Burki, le journaliste et essayiste, présentateur de l'émission "Carrément Brunet", diffusée tous les jours de 13h à 14h sur RMC, avait expliqué avoir été plusieurs fois contacté par l'équipe de "On n'est pas couché". Une information qui prend une tonalité particulière alors qu'Aymeric Caron va quitter le talk-show de France 2 à la fin de la saison.
"Un certain nombre de personnes chez Ruquier m'ont déjà appelé, pas Laurent Ruquier", avait ainsi révélé Eric Brunet, confirmant à Daphné Burki le nom de Catherine Barma, la productrice de "On n'est pas couché". Avant de préciser, sur le ton de la plaisanterie : "Un certain nombre de personnes chez Ruquier m'ont déjà appelé dans ma vie professionnelle pour me demander si j'avais l'heure". Eric Brunet avait cependant expliqué ne pas avoir eu de contacts récents avec la production de l'émission.
"Je serais très heureux d'y aller"
"Si Catherine Barma me rappelle pour remplacer Aymeric Caron, je lui dirais qu'elle risque d'être déçue parce que je ne vais pas remplacer Aymeric Caron" avait-il ensuite précisé à l'animatrice qui évoquait cette hypothèse, pointant ainsi du doigt leurs orientations politiques diamétralement opposées. L'essayiste n'avait cependant pas caché son envie d'être chroniqueur dans "On n'est pas couché" : "Je serais très heureux d'y aller".
Un peu plus tôt, Eric Brunet avait confié qu'il rêvait de présenter une émission de débat à la télévision mais que BFMTV ne laissait pas la place à ce genre de format. "BFMTV c'est difficile. C'est une chaîne de hard news. BFMTV, c'est une chaîne qu'on l'allume, il faut qu'il y ait un type qui vous donne des infos", avait-il résumé.
