Karine Le Marchand : "'L'amour est dans le pré' c'est l'anti Tinder !"

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Karine Le Marchand : "'L'amour est dans le pré' c'est l'anti Tinder !"
Par Pierre Dezeraud Journaliste
Journaliste à puremedias.com depuis octobre 2016, Pierre Dezeraud est diplômé en histoire, journalisme, sciences politiques et communication. Après un passage au sein du groupe TF1, il rejoint puremedias.com...
Karine Le Marchand
Karine Le Marchand © Sylvie Lancrenon / M6
puremedias.com a rencontré l'animatrice phare de M6.

La bonne fée des agriculteurs repart en campagne. Ce soir, M6 donnera le coup d'envoi de la douzième saison de "L'amour est dans le pré". L'occasion pour les fidèles du programme de retrouver celle qui l'incarne depuis 2010. Animatrice très populaire - tenante du titre depuis trois ans dans la catégorie "Meilleure animatrice" aux TV Notes -, Karine Le Marchand fourmille de projets pour la saison prochaine, entre le retour de "Une ambition intime" et le lancement d'une émission consacrée à la chirurgie de l'obésité. À l'occasion du lancement de la nouvelle saison de "L'amour est dans le pré", puremedias.com s'est entretenu avec l'animatrice.

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Propos recueillis par Pierre Dezeraud.

Vous entamez votre huitième saison à la tête de "L'amour est dans le pré". Qu'est-ce qui vous pousse à repartir chaque année ?
Mon prêt ! Non, je rigole ! Sérieusement, c'est une émission qui se renouvelle chaque année. Pour filer la métaphore, ce programme, c'est comme un livre. Chaque saison raconte des chapitres différents. Il n'y en a pas deux pareils. Ce sont des histoires humaines, comment se lasser ? Et puis, j'ai aussi beaucoup de bonheur à retrouver tous les ans la toute petite équipe qui bosse sur ce programme. Sur le tournage, nous sommes entre nous, c'est quand même chouette de pouvoir travailler avec ses amis.

Vous aimez toujours autant votre de rôle de Marraine, la bonne fée ?
C'est un cadeau. Mais ils m'aident beaucoup maintenant. Quand j'arrive, ils savent qu'ils vont devoir se confier parce que, s'ils ne le font pas, ça ne fonctionnera pas. C'est un peu comme une première séance chez le psy. La grande chance que j'ai avec les agriculteurs qui participent à ce programme, c'est qu'ils aiment l'émission, ils savent comment ça marche et surtout ils m'assimilent à leur bonheur. C'est rare dans une émission de télévision, ça l'est encore plus pour un animateur. Je me sens utile avec eux.

"Entre les agriculteurs et moi, c'est une élection mutuelle"

Vous vous sentez proches d'eux ?
Au fil des années, j'ai développé quelques amitiés fortes avec certains d'entre eux. Pas tous évidemment, ce serait impossible. En fait, je me sens en osmose avec beaucoup d'agriculteurs. Le fait que, chaque année, ils risquent de tout perdre à cause d'éléments qu'ils ne peuvent pas maîtriser comme la météo, leur confère une vraie sagesse et quelque chose de très rationnel. Moi, ça me rassure ce côté rationnel, je m'y reconnais. Entre eux et moi, c'est une élection mutuelle.

Vous avez conscience de la place à part de cette émission dans la société française ? On peut objectivement dire que "L'amour est dans le pré" est entré dans notre culture populaire.
Oui ! Chaque année, des journalistes me demandent si ce n'est pas la saison de trop. Alors, non, je ne crois pas ! On fait toujours les mêmes scores avec le replay. Je pense que dans un monde où la vie est de plus en plus dure, les gens ont besoin d'émissions qui font du bien comme "Koh-Lanta" ou "L'amour est dans le pré". En ce qui nous concerne, je pense qu'une émission qui soulève autant d'émotions chez les téléspectateurs, et peu importe leur niveau social, c'est juste unique.

Pour beaucoup de gens, cette émission est un refuge...
Moi, c'est comme ça que je le vis. D'abord, nous sommes dans une société où, en milieu urbain, nous sommes en permanence dans la compétition, y compris amoureuse. Cette émission nous offre un amour tout ce qu'il y a de plus pur, à l'opposé de ce que beaucoup d'entre nous vivent. Dans "L'amour est dans le pré", on voit des gens qui rêvent juste de marcher main dans la main avec quelqu'un le long d'un chemin. Moi, ça me bouleverse parce qu'ils nous ramènent à des fondamentaux auxquels nous ne sommes plus confrontés avec Tinder, Grindr et toutes les applications du genre.

"L'amour est dans le pré" c'est l'anti-Tinder ?
C'est exactement ça ! Que cherchent vraiment ceux qui sont sur ces applications ? Dans cette émission, des gens verbalisent leur manque d'amour avec une simplicité déconcertante, qui bouscule notre évidence. On les voit aimer sans jouer, sans faire payer à un nouvel amoureux un passé douloureux, sans rejouer l'histoire de leurs parents... Ce sont les valeurs que j'essaie d'inculquer ma famille. C'est quand même autre chose que les émissions de télé-réalité qui passent plus tôt dans la journée !

"Cette saison est assez étonnante"

Vous disiez que chaque saison de "L'amour est dans le pré" est un chapitre à part entière. Comment qualifieriez vous celle-ci ?
Elle est assez étonnante. Je ne sais pas pourquoi mais nous avons beaucoup d'hommes qui témoignent de leurs émotions. Quand ils veulent pleurer, ils pleurent. Ils disent ce qu'ils ressentent spontanément, je n'ai même pas eu besoin de leur tirer les vers du nez. C'est bouleversant, vous verrez. Comme on se le disait tout à l'heure, le monde fait peur. Je pense que, plus que jamais, ces agriculteurs sont à la recherche, comme nous tous, d'un cocon.

Les agriculteurs font très difficilement face à la dureté de ce monde que l'on évoquait. Le taux de suicide est particulièrement élevé dans cette profession. Quand vous rencontrez les agriculteurs, vous y pensez lorsque vous sentez des fragilités chez eux ?
Nous y sommes confrontés, oui. La plupart de nos agriculteurs vont chez le psy. Chaque année, nous avons un ou plusieurs agriculteurs qui s'arrêtent et qui quittent le programme d'un commun accord avec nous. Au contexte difficile peut s'ajouter la gestion d'une notoriété soudaine qui peut révéler des failles. La notoriété les plonge dans une auto-analyse. Nous sommes prudents là-dessus parce que nous savons que cela peut être violent pour certains.

"Les agriculteurs m'écoutent beaucoup dans 'Les Grosses Têtes'"

Comment expliquez-vous la confiance innée que les agriculteurs vous font ? Chaque année, il est bluffant de voir avec quelle facilité vous faites tomber leurs barrières.
Ils savent que je vais les faire accoucher, et puis, c'est mon travail de le faire. J'aime tirer les fils pour qu'ils me disent leur vérité. Ils savent que je ne suis pas dans le jugement avec eux. Ils connaissent mon histoire personnelle. Ils me montrent des photos de leurs enfants et moi, de ma fille. En fait, on est dans un vrai échange. Ah et ils m'écoutent beaucoup dans "Les Grosses Têtes" aussi , ça aide ! Si j'étais la fille sur un piédestal qui regarde le manant pour lui expliquer sa vie, ça ne marcherait pas.

Vous n'avez pas peur de ne plus jamais pouvoir vous débarrasser de l'étiquette "L'amour est dans le pré" ?
Non, pas du tout. J'aime l'humain, j'aime l'histoire des gens. Si j'ai cette étiquette-là, ça me va très bien ! C'est ce que je suis et je continuerai dans ce sens. Je faisais déjà de l'humain avec "Les Maternelles" et j'ai continué à le faire avec "Une ambition intime".

D'ailleurs, "Une ambition intime" n'est rien de plus qu'une déclinaison des portraits de "L'amour est dans le pré" ?
Ah oui, je l'ai écrit comme ça ! Je suis allé voir mes patrons en leur disant : "Je vais faire comme les portraits des agriculteurs mais avec les présidentiables". Ils m'ont dit d'essayer mais ils n'y croyaient pas trop. Vous connaissez la suite !

Vous avez senti que vous teniez un concept dans l'air du temps ?
J'étais intimement persuadée que ce n'est pas normal de vouloir être président de la République à 18 ans. À cet âge-là, tu roules des pelles sur ton scooter normalement (rires). Sérieusement, je suis convaincue que l'on ne dirige pas un pays de la même façon si on a été rejeté pendant son enfance ou si on a été adulé par ses parents. L'appétit pour le pouvoir n'est pas un hasard.

Avec le recul, vous ne regrettez pas que le seul "gros" candidat qui n'ait pas participé à "Une ambition intime" soit celui qui a été élu ?
Mais il ne se présentait pas quand je l'ai fait. C'était trop tard quand il est sorti du bois en janvier. On s'est posé la question mais c'était impossible de lui donner une émission à lui tout seul.

"Je ne désespère pas d'avoir Emmanuel Macron dans 'Une ambition intime'"

Il s'était pourtant félicité d'être l'un des rares candidats à ne pas être passé sur votre canapé...
Ça, c'était de la communication politique. Pendant la campagne, il n'a pas marqué une farouche opposition à parler de lui. Je ne désespère pas de l'avoir un jour !

Justement, si vous l'aviez en face de vous, quelle serait votre première question ?
Il y en a plein, c'est trop difficile de répondre ! Évidemment, les Français ont envie de connaître Brigitte...

Pourquoi ne pas inviter Brigitte Macron directement ?
J'adorerais avoir Brigitte ! Moi, c'est une femme que j'aime beaucoup, je l'ai eue deux ou trois fois au téléphone pendant la campagne. Ce serait intéressant, elle va avoir un statut, c'est une première ! Elle aura des combats et je pense que les Français ont envie de connaître lesquels.

Vous avez toujours espoir de recevoir le nouveau gouvernement ?
Oui bien sûr, j'aurais tort de ne pas essayer. On va laisser passer les législatives et attendre qu'il soit définitivement installé avant de lancer les invitations. On connait peu de choses d'Edouard Philippe qui a l'air d'être un personnage très intéressant. Je ne les connais pas tous - les Français non plus ! - mais certains ministres ont l'air d'être passionnants. Bon, j'en ai déjà reçu deux... Quoi qu'il en soit, si cela se fait, il faudra faire évoluer le concept, on ne peut pas refaire la même chose que les portraits de l'an dernier.

Où en est votre projet de faire venir des artistes dans "Une ambition intime" ?
Nous sommes actuellement en production, le tournage débutera dans les toutes prochaines semaines. Ce ne sera pas un enchaînement de quatre portaits comme lorsque j'ai reçu les candidats à la présidentielle. L'émission ne prendra pas uniquement la forme d'un entretien. Il est encore tôt pour en dire plus mais je peux vous dire que ce ne sera pas "people".

Ça fait partie des nouveautés que prépare M6 pour la saison prochaine ?
Oui, ce sera présenté à la rentrée.

Et votre projet d'émission sur la chirurgie de l'obésité avec Cristina Cordula ?
Le casting vient tout juste d'être lancé. C'est un peu tôt pour en parler.

"Ce sont toujours les mêmes qui me critiquent"

Si vous refaites "Une ambition intime" avec des politiques la saison prochaine, vous le ferez en prenant en compte les critiques qui vous ont été adressées ?
Non. Il n'y en a pas eu tant que cela, vous savez. En fait, c'était toujours les mêmes. Moi, ça m'a beaucoup amusée surtout quand je vois que ceux qui m'ont critiquée ont passé toute la campagne à parler de tout sauf des programmes des candidats. Je crois même que j'ai lancé un mouvement même si personne ne le reconnaîtra. Regardez, même France 2 a changé sa réalisation. Tout le monde s'est attardé davantage sur l'humain, le parcours des candidats...

Avec le recul, comment l'avez-vous vécue, cette campagne ?
Je l'ai trouvée dégueulasse. Je suis vraiment contente d'avoir "Une ambition intime" en septembre et très fière que personne ne sache pour qui je vote. Je pense que les Français attendent cela des journalistes. Ils n'en peuvent plus de l'agressivité systématique pour piéger un politique sur le prix de la baguette ou le nombre de porte-avions.

Alors que les journalistes politiques, à l'instar du reste de la profession, subissent une grande défiance, votre émission a plutôt été bien accueillie par le grand public...
C'était même un carton ! J'ai fait six fois plus de jeunes et de femmes que les émissions politiques classiques. Ça valide ce que j'ai toujours pensé : Ce n'est pas le sujet politique qui désintéresse les gens mais l'usage que l'on en fait. Encore une fois, les gens en ont soupé de l'agressivité. Regardez l'élection américaine ! On a voté pour l'un parce que l'autre ne nous plaisait pas. Il faut arrêter l'hypocrisie. Personne ne lit les programmes, personne ne change d'avis en regardant une émission politique. Moi, ce que je voulais, c'était que les jeunes votent et s'investissent parce que je pense qu'en remettant de l'humain, on donne envie de s'investir. Je pense que j'ai réussi ce pari et on m'a détestée pour ça.

"On s'est acharné sur moi. J'étais méprisée quasiment tous les jours sur France Inter"

Les journalistes politiques vous détestent ?
Je ne suis pas du sérail, certains me détestent. J'ai entendu par exemple : "Ah mais ce n'est pas normal d'être sur un canapé avec les jambes relevées". Mais enfin, tout le monde oublie que Françoise Giroud le faisait ! Regardez (Elle cherche une photo de Françoise Giroud sur son téléphone) ! Ça ne posait problème à personne parce qu'elle était du sérail. Moi, je n'en suis peut-être pas mais contrairement à certains de mes détracteurs, je ne dîne pas avec les politiques et je ne couche pas non plus avec eux. Je pense juste que l'on n'est pas obligé de feindre l'agressivité, parce qu'elle est souvent feinte, lorsque l'on interroge un homme politique.

C'est ce que vous répondez à ceux qui vous ont reproché d'être trop bienveillante ?
Oui, j'assume la bienveillance. Où est la bienveillance en revanche quand on vient me dire "Comment tu peux te tenir avec des agriculteurs comme avec des présidentiables ?". Ça veut dire quoi ? Qu'il y a plusieurs niveaux d'êtres humains ? En quoi serait-il honteux de se comporter de la même manière avec un agriculteur et un politique ? Pour moi, il n'y a aucune différence. Mais, vous savez, ces gens, ils me méprisaient déjà avant "Une ambition". Ils ne m'ont jamais reçue dans leurs émissions. J'incarne quelque chose qui leur déplaît profondément. Avant, j'étais caricaturée en "Karine et les bourrins" sur France Inter parce qu'ils ne supportent pas "L'amour et dans le pré".

Qu'est-ce qui les dérange chez vous ?
J'ai aggravé mon cas, je me suis payé Patrick Cohen dans "C à vous". Ils ont eu une espèce de réflexe de caste. À partir de là, ils se sont acharnés contre moi. C'était quasiment tous les jours sur France Inter. Je trouve ça pathétique et incroyablement méprisant.

"Il y a beaucoup de gens pédants sur France Inter"

Et "donneur de leçons" aussi.
Oui, ce sont des gens pédants. Il y en a beaucoup sur France Inter. Ils ont un côté "Je vais vous dire quoi faire de vos vies, ce qu'il faut regarder à la télévision, pour qui voter parce que je sais mieux que vous". C'est insupportable ! Qui sont-ils pour expliquer aux gens qu'il ne faut pas regarder Mimie Mathy à la télévision mais qu'il vaut mieux aller au musée ou bien pour leur expliquer qu'il ne faut surtout pas voter à droite ? Cette espèce de pseudo-supériorité intellectuelle m'exaspère, on tend à faire passer les Français pour des cons.

Nous sommes actuellement dans les loges du spectacle de Stéphane Plaza. Une question pour conclure cette interview : Vous avez pour projet de refaire une émission avec lui ?
On en a très envie mais il n'est jamais là ! Il est toujours en train de courir, je ne sais pas comment il fait ! Mais oui, un jour, cela arrivera.

"Stéphane Plaza est l'un des cadeaux de ma vie"

La relation que vous avez avec lui, rare entre deux animateurs de télévision, c'est une chance ?
C'est l'un des cadeaux de ma vie. Je le dois à M6 d'ailleurs. À l'époque où nous nous sommes rencontrés, la chaîne organisait des dîners d'animateurs. Il venait d'arriver, il était juste agent immobilier et il m'a demandé des conseils. Tout est parti de là. Nous sommes très complémentaires. Il a ce profil du mec qui s'est arraché à la province, qui a choisi sa vie, un peu comme Ruquier d'ailleurs. Tous mes amis ont un peu ce profil-là, celui de gens qui n'oublient pas d'où ils viennent (sourire).

Karine Le Marchand
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