Alban Lenoir est décidément la star française des films de Netflix. Après le carton international de la franchise "Balle perdue", le dernier film de l'acteur de 42 ans fait déjà des vagues dans le classement des contenus des films les plus consommés dans le monde.
Sorti le vendredi 28 avril 2023 partout sur la planète, "AKA" son nouveau long-métrage d'action a signé un démarrage tonitruant. Trois jours seulement après sa publication sur la plateforme, le film sur-vitaminé produit par Inoxy Films et Nolita, entreprise détenue par Webedia, société éditrice de puremedias.com, s'est installé dans le top 10 dans plus de 89 territoires. Encore plus fort, le film est quasiment numéro 1 partout sur la planète (79 pays dont les États-Unis, la France, l'Argentine, l'Italie, l'Espagne, etc...).
Numéro un aux États-Unis
Dans "AKA", Alban Lenoir joue le rôle d'Adam Franco, un mercenaire qui travaille pour les services français. Après une mission à l'étranger, il est chargé d'infiltrer une organisation mafieuse afin d'empêcher un projet d'attentat terroriste d'ampleur sur le territoire français. Dans cette nouvelle production de 2 heures, le comédien donnera la réplique à Eric Cantona et Thibault de Montalembert.
"Plus qu'un salaud, je le vois comme un mec désincarné, un robot auquel on donne des ordres. A un moment, il y a un petit truc dans son programme qui lui rappelle qu'il a été formaté. Et qui va l'aider à redécouvrir son humanité", a confié, au sujet du personnage d'Adam Franco, le réalisateur Morgan S. Dalibert auprès de "TF1 Info". Et d'ajouter concernant Alban Lenoir : "On a eu peu de temps pour tourner et il est arrivé qu'on enchaîne deux jours à ne faire que des scènes d'action. Je me rappelle l'avoir retrouvé à 4h du matin, à genoux, dans un coin du plateau, en train de récupérer en sueur, l'air mort. Il n'avait plus de jus... Et puis, il s'est relevé".
"Il faut aller au charbon et se faire un peu mal"
Sur BFMTV, Alban Lenoir a confié ce matin assumer être le nouveau visage des films d'action en France et apprécier collaborer avec Netflix, qui lui a donné sa chance : "Netflix s'est posé un peu moins de questions. Ils ont dit qu'ils croyaient en moi et qu'ils voulaient nous aider. Ils ont bien fait". Il a souligné sa volonté de participer à des films réalistes, en faisant lui-même ses cascades : "Je veux donner une liberté complète au réalisateur qui n'a pas besoin de réfléchir où il doit poser sa caméra, parce que c'est une doublure ou qu'il faut un effet numérique. Pour ça, il faut aller un peu au charbon et se faire un peu mal".
Chiffres : Fix Paltrol