Les jeux sont des inspirations lucratives pour Hollywood. L'été dernier, la transposition sur grand écran des jouets G.I. Joe a ainsi connu un joli succès au box-office international, et plusieurs projets du même type sont actuellement en développement, dont Stretch Armstrong, porté par Taylor Lautner. Mais si les figurines sont facilement adaptables au cinéma, qu'en est-il des jeux de société ?
C'est à ce défi que s'est confronté Ridley Scott quand il a accepté de porter à l'écran le fameux jeu Monopoly. Et il a dévoilé cette semaine à MTV comment il comptait transposer l'univers du jeu au cinéma. « On a eu du mal au début, parce que ma tête me guidait dans une direction où je voulais intégrer le jeu », explique-t-il ainsi, ajoutant qu'il avait envisagé de faire courir des personnages sur un plateau, avec des grandes maisons et des chapeaux haut de forme.
Finalement, le patron de Hasbro, la société qui détient les droits sur le jeu, a rassuré le réalisateur. Il lui a expliqué que le jeu n'était qu'un point de départ au film, et c'est alors que Ridley Scott a trouvé le concept du film. « J'ai toujours aimé les comédies des années 80, comme Un fauteuil pour deux avec Eddie Murphy. Je ne dis pas que ce sera comme ça, mais ça s'en approchera. Ce sera une comédie, c'est obligé, explique-t-il ainsi. Le film sera centré sur un personnage très puissant, à la Donald Trump, qui affrontera d'autres magnats de l'immobilier. Ce sera un film sur l'avarice, sur une avarice qui devient drôle », conclut le réalisateur.
TV
"On compare mon enfant à un animal" : Christophe Beaugrand victime de messages...