Clin d'oeil. C'est l'une des révélations télé de 2012. Désormais retirée de la vie politique, Roselyne Bachelot s'est renconvertie en chroniqueuse télé. Chaque jour, elle officie aux côtés d'Audrey Pulvar, Hapsatou Sy et Elisabeth Bost dans "Le Grand 8" de Laurence Ferrari sur D8. Ce matin, le quintuor féminin donnait le coup d'envoi de la deuxième version de l'émission, en direct, avec une table, et désormais programmée à 11h10 - contre 12h15 précédemment - afin de tenter de rebooster les audiences.
"Je suis une vraie vraie fan"
Et pour cette première émission de 2013, Roselyne Bachelot a pu rencontrer les Dieux du Stade, ces sportifs qu'elle apprécie tant. En effet, en octobre dernier, pour le deuxième numéro du "Grand 8", l'ancienne ministre avait confié à Charlotte Valandrey sa "recette du bonheur" : regarder le calendrier de ces rugbymens très déshabillés. "Personne ne me le vole ! J'irai regarder dans ma loge si on ne me l'a pas piqué !" prévenait-elle alors, même si ses camarades avouaient ne pas "fantasmer" sur ces Dieux du Stade.
Après les avoir défendu bec et ongles sur le plateau du "Grand 8", Roselyne Bachelot était ainsi émerveillée de voir les rugbymens ce midi. "Enfin, on attend ça toute l'année et ça y est, c'est là !" s'est-elle ainsi réjouie, assurant être "une vraie vraie fan". Néanmoins, la chroniqueuse du "Grand 8" a un reproche à faire : "Il y a eu certaines années des photos qui étaient un peu plus suggestives. Je remarque qu'elles sont plus convenables d'années en années. Ca se calme un peu. J'espère que ce mauvais pli ne va pas continuer !".
"J'ai vu quelques détails anatomiques intéressants"
Malgré tout, celle qui confie guetter chaque année leur calendrier "juste pour le plaisir des yeux" a cependant noté du mieux cette année. Et lorsqu'on l'interroge sur cette passion pour le rugby, Roselyne Bachelot interrompt de suite Caroline Ithurbide : "Non mais attendez, vous aimez pas le rugby, vous aimez les rugbymens !". Si la chroniqueuse de Laurence Ferrari apprécie le calendrier, elle rappelle qu'elle a fréquemment vu les sportifs en petite tenue.
"C'est une habitude. Quand on a été quatre ans ministre des Sports, on a quand même fait un certain nombre de vestiaires" explique-t-elle. Lors du retour plateau, Roselyne Bachelot va plus loin et donne quelques noms ! "J'ai vu quelques détails anatomiques qui étaient intéressants. C'est plutôt sympathique. J'avais un petit faible pour Aurélien Rougerie" a-t-elle avoué, précisant regarder le calendrier à chaque coup de blues...
