Le conseil de classe a tranché. Encouragements, félicitations, avertissements... Tout au long de l'été, puremedias.com vous révèle "Le bulletin de notes de" vos animateurs de la saison. Qui passe ? Qui redouble ? Place à l'élève Laurence Ferrari.
Assiduité (9/10)
On ne peut pas vous reprocher de ne pas être présente en classe, même si vous ne semblez pas vraiment apprécier le dimanche. On vous retrouve ainsi du lundi au jeudi, tous les matins, dans "Le Grand 8" sur D8, mais également le soir dans "Tirs croisés" sur i-Télé ! Vous assurez donc deux heures de direct chaque jour... quand ceux-ci ne s'allongent pas en raison de l'actualité.
Image, comportement (6/10)
Trop de bavardages, Laurence. Vous passez vos matinées à discuter avec "les fiiiiiilles", de tout et (souvent) de rien. Toutefois, vous vous rattrapez grandement en jouant la carte du sérieux sur votre chaîne d'information en continu. Un exercice d'équilibriste que vous réussissez plutôt bien.
Performances (5/10)
Les communiqués ont beau être envoyés tous les matins, "Le Grand 8" n'est pas l'énorme succès que l'on nous vend. Il est néanmoins clair que l'émission a su progresser en audience, grâce à une meilleure programmation et de nombreuses améliorations. Même chose du côté de "Tirs croisés". Des efforts à poursuivre la saison prochaine.
Projets, ambition (5/10)
Pas de changement la saison prochaine. Nous vous retrouverons toujours dans "Le Grand 8" chaque matin sur D8 et dans "Tirs croisés" tous les soirs sur i-Télé. Deux exercices qui ne vous laissent pas trop de temps pour autre chose, même si on apprécierait de vous revoir dans un véritable exercice d'interview politique régulière, comme à l'époque de "Dimanche+".
Moyenne générale : 6,25/10
Appréciation générale du conseil de classe
Encouragements. Vous ne lâchez rien. Vous résistez à un emploi du temps plutôt intense ainsi qu'aux critiques. Surtout, vous avez réussi à faire progresser votre "Grand 8" que certains enterraient trop vite. Gare toutefois aux bavardages avec "les fiiiilles" sur des sujets parfois trop futiles.
