Nabilla est sortie du silence hier soir. Face à Thierry Demaizière dans "7 à 8", la jeune femme révélée par "Les Anges" sur NRJ 12 a évoqué son parcours, à quelques jours de la sortie de son autobiographie "Trop vite". En pleine promo pour le livre, et alors qu'elle a également donné une interview au "Journal du dimanche" hier, la jeune femme a évoqué tous les sujets : sa célébrité "peut-être pas méritée", la pression médiatique, mais aussi sa dispute fatidique avec "l'homme de sa vie", Thomas Vergara, qui lui a valu plusieurs semaines de prison.
"J'avais tellement voulu cette célébrité et tout ce qui va avec que j'étais contente de l'avoir au début. Je l'assume toujours, mais c'est vrai que c'est pas tous les jours facile", a-t-elle expliqué en début d'interview. "J'ai été tout d'un coup très, très médiatisée pour pas grand-chose, il fallait changer mes habitudes, il y a des gens qui me poursuivaient dans la rue (...). A un moment donné, tout le monde devait avoir son avis sur Nabilla, c'était dur d'être jugée constamment par les autres", a-t-elle poursuivi.
"Quand ça s'est refermé sur nous, on n'assumait plus"
Nabilla a ensuite évoqué sa relation avec Thomas, qui vivait encore moins bien qu'elle la médiatisation. "Il n'avait pas vraiment envie d'être surmédiatisé (...) Quand ça s'est refermé sur nous, ce qu'on avait tant désiré, on n'assumait plus en fait", a-t-elle avoué avant de revenir sur l'agression. "Il y avait deux personnes qui s'aimaient très fort, et elles étaient perdues, aspirées dans un tourbillon médiatique avec une pression horrible sur les épaules, dans la rue, sur internet... Et ces personnes-là ont perdu pied", a-t-elle expliqué.
Dans son livre, Nabilla évoque un dérapage verbal de Thomas au sujet de sa participation à "Touche pas à mon poste" sur D8. "Tu fais ta pute à la télé", lui aurait dit son compagnon. "Il avait un côté très protecteur, il voulait vraiment me protéger de tout ça, j'étais vraiment dans le sexy, dans la mise en scène, et ça ne lui plaisait pas", confirme Nabilla face à Thierry Demaizière. "Je veux que tout s'arrête, j'essaie que la situation s'apaise, j'essaie de faire peur, et la situation dégénère", poursuit-elle au sujet de cette nuit-là, donnant plus de détails sur le déroulé des événements, les différentes versions données à la police et son arrivée en prison, où elle est traitée "comme une fille normale".
Hier soir, 4,2 millions de téléspectateurs ont suivi cette interview dans "7 à 8", soit 24% du public et 29% des femmes responsables des achats de moins de 50 ans. puremedias.com vous propose de découvrir l'interview en intégralité.
