En mars, l'animateur de M6 participait, un peu déchaîné, à "17eme sans ascenseur", l'émission de Laurent Baffie sur Paris Première. Après une déclaration ambigüe sur les Miss France, il avait expliqué qu'il était "un concept à (lui) tout seul". "J'assume complètement mes propos, s'était-il justifié après coup. Comme d'habitude, on s'attarde sur quelques phrases sorties d'une longue émission, dont le principe est justement d'être un peu vulgaire."
"Accepter son étiquette et fermer sa gueule"
En cette rentrée, Bernard de la Villardière revient ce week-end dans "La semaine des médias" sur i>TELE sur cette séquence qui l'a propulsé au coeur d'un buzz. Aujourd'hui, il estime avoir été victime de son second degrés. "Quand on vous met une étiquette, il faut l'accepter et il faut fermer sa gueule. A un moment, j'ai voulu en jouer et en rire et en fait je m'en suis repris une, notamment dans une fameuse émission de Paris Première. J'ai fait du second degré. J'ai répondu à une provocation de Baffie par une autre provocation", explique-t-il.
Un second degré qui a été, selon lui, détourné. "En fait il y a les snipers du net, décrypte-t-il. Ces sites d'infos ou de pseudo-infos des médias sur le net, qui font travailler des forçats de l'information qui pondent quinze papiers par jour et qui reprennent au premier degré ce que vous avez pris au second, en sachant que ça va faire du buzz. Ils ne prennent même pas la peine de vous appeler pour vous demander ce que vous en avez pensé. Mais c'est pas grave vous êtes en fait de la chair à canon pour ces sites d'information à partir du moment ou vous avez une petite célébrité".
"La semaine des médias" sur i>TELE
> Chaque dimanche à 14h et 21h
